Tous les auteurs, je crois, ont leur petites coquetteries et afféteries d'écriture, des trucs auxquels ils tiennent et qui ne fascinent généralement qu'eux, et que personne ne remarque vraiment. Bon, tout le monde a remarqué mes titres alambiquées sur la trilogie du Chien Noir , en allitération, reprenant la première phrase de chaque roman. C'était pour moi un moyen de me glisser dans des formes très anciennes, des codes de l'épopée, même si, fondamentalement, je ne sais pas si ces textes constituent en soi des épopées. Ils ont quelques moments épiques, je crois, mais ce n'en est pas la clé principale. Plus discret, il y a un jeu numérologique qui a émergé en cours de route. Mais reprenons : Trois Coracles, au départ, était conçu comme un one shot . Ce qui m'avait motivé, je l'ai déjà raconté, c'était l'histoire d'Uther, j'avais l'idée de transformer cette note en bas de page du récit arthurien en intrigue principale. Une fois le roman...
Commentaires
O.
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chez moi, je passe plutôt le fulchibar, maintenant.
**se retire dans ses appartements en étouffants ses larmes**
C'est un effet Royal-Peillon, ça: on prépare un truc, on arrange la table et les napperons, et paf! y a un détournement en vol, et tout le projet initial passe aux pertes et profits (comment ça, une salade de métaphores?)
C'est moche, ouais.
(Bon, en même temps, t'es pas clair, non plus, parfois...)