Bon, cet aprème, j'ai pas retrouvé ma motivation. Alors que ce matin, j'avais bien bossé, j'ai une traduction à finir dans la semaine, j'en ai dépoté pas mal ces derniers jours, mais là je calais. Ce sont des choses qui arrivent. Je soupçonne ma motivation d'être crunchée entre deux bouquins que j'ai déplacés. Alors, vous me direz, j'ai un Perceval à finir. Qui est très loin d'être fini. Mais l'avancer, là, ça veut dire reculer. J'ai un bout déjà fait que je tiens à remanier avant de continuer le récit. Et là, bon, les deux bouquins, le truc aplati entre, vous voyez de quoi je veux dire. Quand c'est comme ça, je vais marcher sur le quai, je m'oxygène un peu, et puis je fouille mes dossiers et je peux gratter, selon, le scénar de BD sur Villon qui me trotte dans la tête depuis des années, ou celui sur Gilgamesh, voire les bidules expérimentaux qui ne sont même pas conçus en vue de publication, mais à titre d'exercice intellectuel. To...