Alors primo, je vous donne le lien de l'article. Par respect du droit d'auteur, déjà, et puis aussi pour pas qu'on m'accuse d'inventer, non plus.
Donc, c'est là. Un article dans Le Monde. Journal dit de référence.
Bon, voilà la citation. En période de Noël, le débat sur Barbie est forcément miné. Mais là, c'est beau :
Dans un brûlot intitulé Toy-Monster : the Big Bad World of Mattel ("Jouet-Monstre : le grand méchant monde de Mattel") et publié aux Etats-Unis chez Wiley-Blackwell, le journaliste et essayiste américain Jerry Oppenheimer écorne sérieusement le mythe. Auteur de la biographie non autorisée de Bill et Hillary Clinton , Jerry Oppenheimer présente dans son ouvrage le père de Barbie, Jack Ryan , comme un pervers sexuel. Pour l'essayiste, Barbie serait l'incarnation du fantasme ultime de son inventeur : une call-girl de luxe, à la taille ultrafine, aux seins en obus et au visage enfantin. De quoi effrayer encore davantage les mamans ?
Par où commencer ? Il y a des mamans et du sexe. Il y a les Clinton. Donc encore du sexe. Il y a Jack Ryan, donc de la violence réactionnaire (je savais même pas que le héros de Tom Clancy avait le même nom que le créateur de Barbie). Il y a Barbie, donc du Nazi. Et Oppenheimer. Et là, forcément, s'il y a Oppenheimer, alors c'est de la bombe, bébé.
Tout ce qu'on aime quoi. Que du bonheur ! Qui aurait pu croire que la poupée des petites filles recelait tant de possibilités ?
Je terminerai donc par une autre citation, d'un grand penseur contemporain nommé Sting.
"How can I save my little boy from Oppenheimer's deadly toys ?"
Donc, c'est là. Un article dans Le Monde. Journal dit de référence.
Bon, voilà la citation. En période de Noël, le débat sur Barbie est forcément miné. Mais là, c'est beau :
Dans un brûlot intitulé Toy-Monster : the Big Bad World of Mattel ("Jouet-Monstre : le grand méchant monde de Mattel") et publié aux Etats-Unis chez Wiley-Blackwell, le journaliste et essayiste américain Jerry Oppenheimer écorne sérieusement le mythe. Auteur de la biographie non autorisée de Bill et Hillary Clinton , Jerry Oppenheimer présente dans son ouvrage le père de Barbie, Jack Ryan , comme un pervers sexuel. Pour l'essayiste, Barbie serait l'incarnation du fantasme ultime de son inventeur : une call-girl de luxe, à la taille ultrafine, aux seins en obus et au visage enfantin. De quoi effrayer encore davantage les mamans ?
Par où commencer ? Il y a des mamans et du sexe. Il y a les Clinton. Donc encore du sexe. Il y a Jack Ryan, donc de la violence réactionnaire (je savais même pas que le héros de Tom Clancy avait le même nom que le créateur de Barbie). Il y a Barbie, donc du Nazi. Et Oppenheimer. Et là, forcément, s'il y a Oppenheimer, alors c'est de la bombe, bébé.
Tout ce qu'on aime quoi. Que du bonheur ! Qui aurait pu croire que la poupée des petites filles recelait tant de possibilités ?
Je terminerai donc par une autre citation, d'un grand penseur contemporain nommé Sting.
"How can I save my little boy from Oppenheimer's deadly toys ?"
Commentaires
Et l'autre c'est une enquête policière, Barbie enquête sur la disparition d'une statue le célèbre Cochon qui bande. C'est bien troussé.
Sinon tu sais que Barbie, la poupée est une imitation de Lilli (paraît-il), une illustration pour un journal devenue poupée.
Le monde est flou et sacrément blizard je trouve !
C'est Lilli (avec deux "ll") une caricature dessinée par Reinhard Beuthien pour le Bild Zeintung en 1951.
Abusé le cochon qui bande au fluchibar avec ses patates plus, pardon.