"Et il se manifestera au milieu d'eux, et ils ne le verront pas."
En ces temps de morosité ambiante où l'on se demande qui est le plus nocif, des vieux complots franc-maçons à la Dan Brown, de la littérature façon Marc Levy ou du petit Hongrois et de ses sbires, à une époque où tout fout tellement le camp qu'une idole des jeunes manque de mourir d'une opération de vieux pour sa sciatique, en des temps troublés ou, selon la vieille malédiction chinoise, "intéressants", il convient de trouver l'espoir. Fut-ce en des endroits curieux et inattendus.
Et donc, mes bien chers frères, la quête du Dieu incarné revenu comme promis parmi les mortels doit occuper nos jours et nos nuits. Parce que si on confie l'affaire à Great Ratzinger Z., on n'est pas sortis de l'auberge espagnole. D'autant qu'il est Allemand.
Mais réjouissez-vous, mes bien chers frères, nous n'aurons pas loin où aller.
Car, même si la Parousie fut cachée en son temps à nos yeux de mortels, elle fut accompagnée d'un indice tellement évident que c'était l'arbre qui noie le poisson au milieu de la figure.
Qui est notre divinité incarnée ?
Un petit retour en arrière.
La première fois qu'un clampin demanda à Dieu de décliner son identité, celui-ci (qui s'était pourtant déguisé pour pas qu'on le reconnaisse, et dans les boutiques, même à la location, le costume de buisson ardent n'est pas donné) répondit par un cryptique "Eyeh asher eyeh". Cherchez pas, c'est de l'Hébreu. En vrai, ça veut dire "Je suis ce que je suis". Déjà à l'époque, Dieu était taquin.
Et quand il est revenu, s'imposant rapidement dans un petit groupe qui n'était pourtant pas prêt à l'accueuillir, par la seule force de son charisme incroyable et de ses pouvoirs par-delà ceux des simples mortels, ce personnage se présenta ainsi : "I Yam what I Yam". Traduit de son Anglais bouffé à la chique de marin, ça se dit approximativement "Eyeh asher eyeh".
Vous l'aurez reconnu :
Et en message éternel, il nous aura indiqué que oui, il faut manger des épinards, et plus généralement cinq fruits et légumes par jour.
Voilà ce qu'il faut garder à l'esprit en ces heures sombres, et dans nos assiettes, tant qu'on arrive à les remplir, parce qu'avec la crise et tout ça, c'est reparti comme en topinambour.
En ces temps de morosité ambiante où l'on se demande qui est le plus nocif, des vieux complots franc-maçons à la Dan Brown, de la littérature façon Marc Levy ou du petit Hongrois et de ses sbires, à une époque où tout fout tellement le camp qu'une idole des jeunes manque de mourir d'une opération de vieux pour sa sciatique, en des temps troublés ou, selon la vieille malédiction chinoise, "intéressants", il convient de trouver l'espoir. Fut-ce en des endroits curieux et inattendus.
Et donc, mes bien chers frères, la quête du Dieu incarné revenu comme promis parmi les mortels doit occuper nos jours et nos nuits. Parce que si on confie l'affaire à Great Ratzinger Z., on n'est pas sortis de l'auberge espagnole. D'autant qu'il est Allemand.
Mais réjouissez-vous, mes bien chers frères, nous n'aurons pas loin où aller.
Car, même si la Parousie fut cachée en son temps à nos yeux de mortels, elle fut accompagnée d'un indice tellement évident que c'était l'arbre qui noie le poisson au milieu de la figure.
Qui est notre divinité incarnée ?
Un petit retour en arrière.
La première fois qu'un clampin demanda à Dieu de décliner son identité, celui-ci (qui s'était pourtant déguisé pour pas qu'on le reconnaisse, et dans les boutiques, même à la location, le costume de buisson ardent n'est pas donné) répondit par un cryptique "Eyeh asher eyeh". Cherchez pas, c'est de l'Hébreu. En vrai, ça veut dire "Je suis ce que je suis". Déjà à l'époque, Dieu était taquin.
Et quand il est revenu, s'imposant rapidement dans un petit groupe qui n'était pourtant pas prêt à l'accueuillir, par la seule force de son charisme incroyable et de ses pouvoirs par-delà ceux des simples mortels, ce personnage se présenta ainsi : "I Yam what I Yam". Traduit de son Anglais bouffé à la chique de marin, ça se dit approximativement "Eyeh asher eyeh".
Vous l'aurez reconnu :
Et en message éternel, il nous aura indiqué que oui, il faut manger des épinards, et plus généralement cinq fruits et légumes par jour.
Voilà ce qu'il faut garder à l'esprit en ces heures sombres, et dans nos assiettes, tant qu'on arrive à les remplir, parce qu'avec la crise et tout ça, c'est reparti comme en topinambour.
Commentaires
Et Mimosa, est-ce qu'il joue du marteau ?
Mais Mimosa, c'est le fils adoptif !
Donc, c'est Loki. Le trickster !
Pervert, va !
O.