230, c'est donc le nombre d'années nous séparant de la transformation d'une forteresse vide ou presque (si je me souviens bien, quand il est attaqué, ce gigantesque machin ne sert à garder que sept types) en une place embouteillée où chaque matin, ce sont des milliers de gusses qui tournent lentement dans leur cellule à roulettes (la voiture, si j'en crois la pub, c'est la liberté). Meilleur rendement, meilleur turnover, moi je dis.
Bien entendu, la république bourgeoise craint pis que la peste les mouvement de foule et la populace. Donc, la commémoration de ce mouvement de foule se fait sous la forme d'un gros déploiement de force militaire, une force militaire dont une bonne partie de l'encadrement, encore à ce jour, est constitué de ci-devants à particule (y en a aussi des paquets dans nos ministères, et ces derniers temps, ce sont les moins compétents qui font le plus bombance à nos frais, semble-t-il).
Il ne s'agit pas d'un paradoxe, mais d'une de ces confiscations dont l'histoire est coutumière.
Bon, du coup, c'est aussi l'anniversaire de la disparition de Léo Ferré. Choisis ton camp, camarade, avant que ce ne soit le tour de la camarde.
Commentaires
Salut à toi Niko!
Salut à toi Makhno !
Salut à toi l’anarcho !