Peut-être est-ce le fait de veiller tard pour finir un boulot urgent dans les temps, mais il m'est venu une idée dérangeante.
Quand on examine l'œuvre de George Lucas, son côté ultraréférentiel apparait vite. Star Wars est un patchwork post-moderne qui mêle films de Kurosawa, pulps, serials de Flash Gordon, esthétique de Valérian et comics de Jack Kirby. American Graffiti est un hommage aux films des années 50 (et l'Episode One revient à cette esthétique avec ses vaisseaux spatiaux à la Raymond Loewy ou à la René Leduc). Quant à Indiana Jones, quoique réalisé par Spielberg, il porte en maints endroits la patte de Lucas, et les Aventuriers cite plus qu'à son tour le Secret des Incas avec Charlton Heston. Lucas, c'est la revanche des je cite.
Et en fait, je crois que George Lucas, il voulait être Quentin Tarantino à la place de Quentin Tarantino. Mais que comme Quentin Tarantino n'existait pas encore, du coup il n'a pas pu.
Pas forcément aussi dérangeante qu'un panty shot de R2D2, mais pas loin
Quand on examine l'œuvre de George Lucas, son côté ultraréférentiel apparait vite. Star Wars est un patchwork post-moderne qui mêle films de Kurosawa, pulps, serials de Flash Gordon, esthétique de Valérian et comics de Jack Kirby. American Graffiti est un hommage aux films des années 50 (et l'Episode One revient à cette esthétique avec ses vaisseaux spatiaux à la Raymond Loewy ou à la René Leduc). Quant à Indiana Jones, quoique réalisé par Spielberg, il porte en maints endroits la patte de Lucas, et les Aventuriers cite plus qu'à son tour le Secret des Incas avec Charlton Heston. Lucas, c'est la revanche des je cite.
Et en fait, je crois que George Lucas, il voulait être Quentin Tarantino à la place de Quentin Tarantino. Mais que comme Quentin Tarantino n'existait pas encore, du coup il n'a pas pu.
Commentaires
https://www.youtube.com/watch?v=_BMgegut3UM