Je profite de l'été et que j'ai mis mes enfants à la benne au train pour les envoyer en vacances pour avancer sur le boulot et surtout pour faire quelques menus travaux. Genre un carrelage commencé en janvier et jamais terminé, préparer l'interview d'un pote pour le magazine qui m'achète régulièrement des piges, avancer cette trad d'adaptation de jeu vidéo…
Et j'ai quand même, malgré toute cette activité, l'impression de m'enfoncer dans un genre de torpeur estivale. je ne sors quasi plus de chez moi. Si, l'autre jour pour m'assurer qu'ils étaient bien dans le train, puis pour un rendez-vous boulot (je vous en reparlerai bientôt en détail, mais me voici "consultant en Batman" pour le studio Monolith qui produit des jeux de figurines franchement sympas). Et puis avant-hier pour rendre quelques bouquins à la bibliothèque, discuter de deux trois événements à venir avec eux, puis faire quelques courses. Qui m'ont permis, chez le bouquiniste où je ne vais que rarement parce qu'il est à l'autre bout de la ville, de me choper à vil prix un manga sur Zatoïchi, un Jeury que j'avais pas et l'édition anglaise abrégée par l'auteur (abrégée, c'te blague, le paveton fait quand même 900 pages en corps 6) (bon, la VF fait 4x800 pages, pour situer) du Rameau d'Or de Frazer, classique de la mythologie comparée qui, s'il a vieilli sous pas mal d'aspects, demeure quand même une mine dans son genre. J'avais mis le nez dedans à plusieurs reprises, mais voilà qui me permettra d'approfondir tout ça.
Mettre le nez dehors seulement deux fois dans la semaine, c'est signe quand même que je ne marne pas grand-chose. Mon carrelage, je le fais à petites fois (y a plein d'angles à la con, faut que je démonte les chiottes, et je m'énerve facilement sur ces trucs là), la traduction seulement le matin pour pas criser non plus, et je me réserve des plages détente : ne serait-ce que, après le repas, regarder l'épisode de la semaine de GoT et celui de Preacher, et sur les pauses post prandiales qui restent, lire un peu, mettre de l'ordre dans mes piles de bouquins OH PUTAIN Y EN A ENCORE UNE QUI VA SE CASSER LA GUEULE je reviens tout de suite…
Et avec tout ça, je pourrais aussi aller me balader sur les quais. Mais non. Peut-être que c'est à cause de ce temps de Toussaint, mais je reste claquemuré comme rarement…
Et j'ai quand même, malgré toute cette activité, l'impression de m'enfoncer dans un genre de torpeur estivale. je ne sors quasi plus de chez moi. Si, l'autre jour pour m'assurer qu'ils étaient bien dans le train, puis pour un rendez-vous boulot (je vous en reparlerai bientôt en détail, mais me voici "consultant en Batman" pour le studio Monolith qui produit des jeux de figurines franchement sympas). Et puis avant-hier pour rendre quelques bouquins à la bibliothèque, discuter de deux trois événements à venir avec eux, puis faire quelques courses. Qui m'ont permis, chez le bouquiniste où je ne vais que rarement parce qu'il est à l'autre bout de la ville, de me choper à vil prix un manga sur Zatoïchi, un Jeury que j'avais pas et l'édition anglaise abrégée par l'auteur (abrégée, c'te blague, le paveton fait quand même 900 pages en corps 6) (bon, la VF fait 4x800 pages, pour situer) du Rameau d'Or de Frazer, classique de la mythologie comparée qui, s'il a vieilli sous pas mal d'aspects, demeure quand même une mine dans son genre. J'avais mis le nez dedans à plusieurs reprises, mais voilà qui me permettra d'approfondir tout ça.
Mettre le nez dehors seulement deux fois dans la semaine, c'est signe quand même que je ne marne pas grand-chose. Mon carrelage, je le fais à petites fois (y a plein d'angles à la con, faut que je démonte les chiottes, et je m'énerve facilement sur ces trucs là), la traduction seulement le matin pour pas criser non plus, et je me réserve des plages détente : ne serait-ce que, après le repas, regarder l'épisode de la semaine de GoT et celui de Preacher, et sur les pauses post prandiales qui restent, lire un peu, mettre de l'ordre dans mes piles de bouquins OH PUTAIN Y EN A ENCORE UNE QUI VA SE CASSER LA GUEULE je reviens tout de suite…
Et avec tout ça, je pourrais aussi aller me balader sur les quais. Mais non. Peut-être que c'est à cause de ce temps de Toussaint, mais je reste claquemuré comme rarement…
Commentaires
Anne onyme