Ah, je me suis aperçu que j'avais oublié de m'accréditer pour le Salon du Livre.
Qu'à cela ne tienne, je suis allé, comme tous les ans, me connecter au site du Salon (qui envoie de mails de ses évènements aux gens accrédités les années précédentes, mais ne les pré accrédite pas pour autant). L'idée était de demander un badge d'accès, que j'obtiens toujours sans difficultés (sauf il y a deux ans, souvenez-vous).
Et donc, cette année, je découvre que donner son numéro Agessa ne suffit plus pour faire la preuve qu'on est un auteur. Il faut scanner une carte d'un syndicat des auteurs, maisons des auteurs, etc. Mais être affilié au régime de sécu ne suffit plus. Alors que donner un numéro facilement vérifiable, c'est pas compliqué. C'était pas assez compliqué, visiblement. Et donc, c'est reparti comme y a deux ans, on filtre les auteurs au Salon du Livre. Les gens qui les font, les livres. Qui les créent. Mais la tendance de fond, visiblement, c'est de laisser la place aux distributeurs, attachées de presse, sous-ministres divers et candidats municipaux qui sont des gens sérieux, eux. Et aux cochons de payants, bien entendu, parce qu'on est là pour gagner des sous. La promotion de la culture, c'est un prétexte.
Okay, très bien. Dont acte.
C'est de plus en plus souvent que je n'y mettrai plus les pieds, à ce Salon, ça se confirme.
Messieurs les organisateurs (c'est toujours une filiale la société Elsevier qui organise, je crois, cette même société dont il me semble qu'elle se traine assez de casseroles pour remplir les cuisines de tous les restaurants de Paris du fait de ses méthodes dans le domaine de la presse scientifique), veuillez donc agréer l'expression de mon plus profond mépris.
Et il va de soi que les communications du SdL Paris finiront désormais toutes dans ma boite "indésirable".
Qu'à cela ne tienne, je suis allé, comme tous les ans, me connecter au site du Salon (qui envoie de mails de ses évènements aux gens accrédités les années précédentes, mais ne les pré accrédite pas pour autant). L'idée était de demander un badge d'accès, que j'obtiens toujours sans difficultés (sauf il y a deux ans, souvenez-vous).
Et donc, cette année, je découvre que donner son numéro Agessa ne suffit plus pour faire la preuve qu'on est un auteur. Il faut scanner une carte d'un syndicat des auteurs, maisons des auteurs, etc. Mais être affilié au régime de sécu ne suffit plus. Alors que donner un numéro facilement vérifiable, c'est pas compliqué. C'était pas assez compliqué, visiblement. Et donc, c'est reparti comme y a deux ans, on filtre les auteurs au Salon du Livre. Les gens qui les font, les livres. Qui les créent. Mais la tendance de fond, visiblement, c'est de laisser la place aux distributeurs, attachées de presse, sous-ministres divers et candidats municipaux qui sont des gens sérieux, eux. Et aux cochons de payants, bien entendu, parce qu'on est là pour gagner des sous. La promotion de la culture, c'est un prétexte.
Okay, très bien. Dont acte.
C'est de plus en plus souvent que je n'y mettrai plus les pieds, à ce Salon, ça se confirme.
Messieurs les organisateurs (c'est toujours une filiale la société Elsevier qui organise, je crois, cette même société dont il me semble qu'elle se traine assez de casseroles pour remplir les cuisines de tous les restaurants de Paris du fait de ses méthodes dans le domaine de la presse scientifique), veuillez donc agréer l'expression de mon plus profond mépris.
Et il va de soi que les communications du SdL Paris finiront désormais toutes dans ma boite "indésirable".
Commentaires
Tu frequentes des aigles, des geants des cadors
et tu n'le dis meme pas?
Bref, ils font faire le boulot de vérification par d'autres (sans les payer).
Shame on you Alex, shame on you!