Bon, j'en ai jamais fait mystère, mais j'ai tendance à faire savoir autour de moi que la réunionite est un peu le cancer de notre société moderne. Je supporte pas les grandes tablées où, passé l'ordre du jour ça oscille entre le concours de bite et la branlette en rond, pour des résultats concerts qui seraient obtenus en règle générale avec un mail de dix lignes.
éviter la Cogip
Quoi ? Oui, je suis inapte au simagrées du monde de l'entreprise moderne, chacun de mes passages dans des grands groupes m'a convaincu que c'étaient des carnavals de... non, aucun mot utilisable en public ne me vient. Et mes passages aux conseils d'administrations d'associations n'ont pas été mieux. Le problème, ce n'est même pas la structure, qu'elle soit filiale d'un truc caquaranqué ou petit truc local tenu avec des bouts de ficelle.
Et pourtant, des fois, faut bien en passer par là, j'en ai conscience. Voir les gens en vrai, se poser autour d'une table, tout mettre dessus, régler les problèmes. Pour avoir vécu un truc très fructueux tout récemment, et être en capacité de comparer ça à d'autres discussions du même genre qui se sont bien passées, je pense pouvoir dégager une série règles à laquelle la moindre entorse fait que le truc ne peux plus fonctionné, ne servira quasi à rien.
- Nombre de participants à 1 chiffre.
Chaque incrément ajoute à l'inefficacité du truc.
- Des gens qui ont déjà bosser ensemble à un titre ou un autre
Comme ça, on sait ce que savent faire ou pas les gens. Y a pas de honte à pas savoir faire un truc ou un autre, et sinon, si la situation se présente faut le dire.
- Des gens qui connaissent leur boulot, qui sont compétents dedans
C'est le corollaire du point précédent. Quand on sait qui fait quoi, ça va tellement plus vite. Chaque point est pris en main par la bonne personne, et chacun repart avec une feuille de route précise.
Voilà, c'était mon grain de sel sur un sujet qui m'escagasse très facilement.
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