On arrive au moment où, chaque fois qu'il y a une grosse vedette qui passe l'arme à gauche, les journaux rivalisent d'inventivité rassie pour trouver un gros titre qui résume le truc. Ça va du "salut l'artiste" à "baisser de rideau", etc. Ou à un truc vaguement lié à sa carrière quand on en trouve un (j'aurais bien mis "Bedtime for Bonzo" à la mort de Reagan, par exemple).
Si la vedette avait atteint une masse critique suffisante en termes de légende et d'amour de son public, il y a aussi des gens pour ne pas y croire, et c'est ainsi que James Dean, Elvis, Lady Di et Michael Jackson coulent des jours heureux sur une île cachée et paradisiaque. Ou alors, ils se cachent et vont revenir (il parait que Michael Jackson va revenir le 21 décembre 2012, par exemple. Je le tiens de source sûre : le mec qui l'a vu dans ses visions a des champignons extras).
Hum.
Du coup, comme je suis un garçon prudent et organisé, je commence à réfléchir à ce qu'il faudra dire quand Arnold cassera sa pipe. Pas Arnold de Arnold et Willie, hein. En plus, "qu'est-ce que tu me racontes-là ?", serez-vous en droit de me dire, vu que je crois qu'il est déjà calanché. Non, je parlais du vrai Arnold. Arnold Schwarzennator.
Et là, s'il rejoint le paradis des biceps, je pense qu'on aura le droit soit à "Hasta la vista, baby" en une de Libé, ou à "I'll be back", pour ceux qui le croiront voué à un retour en majesté.
Voilà, comme ça on est parés au cas où.
C'est bien d'être prévoyant, moi je dis.
Si la vedette avait atteint une masse critique suffisante en termes de légende et d'amour de son public, il y a aussi des gens pour ne pas y croire, et c'est ainsi que James Dean, Elvis, Lady Di et Michael Jackson coulent des jours heureux sur une île cachée et paradisiaque. Ou alors, ils se cachent et vont revenir (il parait que Michael Jackson va revenir le 21 décembre 2012, par exemple. Je le tiens de source sûre : le mec qui l'a vu dans ses visions a des champignons extras).
Hum.
Du coup, comme je suis un garçon prudent et organisé, je commence à réfléchir à ce qu'il faudra dire quand Arnold cassera sa pipe. Pas Arnold de Arnold et Willie, hein. En plus, "qu'est-ce que tu me racontes-là ?", serez-vous en droit de me dire, vu que je crois qu'il est déjà calanché. Non, je parlais du vrai Arnold. Arnold Schwarzennator.
Et là, s'il rejoint le paradis des biceps, je pense qu'on aura le droit soit à "Hasta la vista, baby" en une de Libé, ou à "I'll be back", pour ceux qui le croiront voué à un retour en majesté.
Voilà, comme ça on est parés au cas où.
C'est bien d'être prévoyant, moi je dis.
Commentaires
Et forcément, quand ils sont morts à quatre jours d'intervalle, je n'étais déjà plus à l'agence pour voir ça. Ah ça a dû être beau...
Sinon, au chapitre des titres de nécro hardcore, je me souviens de celui de Libé (forcément) sur la mort de Carlos : "Le chanteur d'Oasis est mort". Pendant une milliseconde, j'ai eu envie de sortir le champ' en pensant à un des deux frères Gallagher, mais non, c'était juste le mec de Tirelipimpon sur le Chihuahua qui avait débuté comme bébé-personne (et donc pas non plus le terroriste des années 70 - enfin, il se livrait à une autre sorte de terrorisme, lui).
C'était le Banga.