Ça fait quelques soirs qu'à nouveau, je fais des rêves grotesques. Je bouffe sans doute trop riche, c'est un signe.
La nuit dernière, j'ai rêvé que je dînais avec Ardisson, accompagné d'une meute de clebs aux dents monstrueuses et dans tous les sens qui leur donnaient un sourire inquiétant. Alors que lui, ça fait des années que je ne le regarde plus à la télé même quand j'ai bu.
Cette nuit, après des considérations savantes sur les arbres de la Forêt Noire (mais ça ressemblait vachement plus à la Lozère, pourtant) et des coups de volants pour éviter les chiens qui traversaient la route en forte pente et en lacets serrés (je conduisais un autocar. ce qui est parfaitement improbable, vu qu'à l'état de veille, même à jeun, je serais même bien en peine de conduire une bagnole). Il y avait des inondations (séquelles probables des évènements du mois dernier) et surtout une bonne femme qui, me parlant de son bonhomme, m'a expliqué doctement (je cite verbatim) : "je ne devrais pas vous le dire, mais en tant qu'adulte, il se nourrit de mon zovchile." Ça ma gonfle quand mes rêves inventent des mots comme ça, un peu comme celui où une espèce de Gaulois abattait devant moi une sorte de sanglier sans tête pour me le préparer en vue du dîner, un bestiau qu'il appelait le "balivron", ou peut-être me précisait-il qu'on pouvait justement le manger parce que ce n'était pas un balivron et que du coup c'était bon, paraît-il (je n'ai jamais su, vu que je m'étais réveillé avant qu'il n'ait fini de le faire rôtir).
Mais là, le zovchile, rien que la façon dont elle en parlait, ça avait l'air dégueulasse.
Ça m'a réveillé direct, en fait. à cinq heures du mat'. Et j'ai pas osé aller me couler un café. De peur qu'il ait un méchant arrière-goût de zovchile. On ne sait jamais.
La nuit dernière, j'ai rêvé que je dînais avec Ardisson, accompagné d'une meute de clebs aux dents monstrueuses et dans tous les sens qui leur donnaient un sourire inquiétant. Alors que lui, ça fait des années que je ne le regarde plus à la télé même quand j'ai bu.
Cette nuit, après des considérations savantes sur les arbres de la Forêt Noire (mais ça ressemblait vachement plus à la Lozère, pourtant) et des coups de volants pour éviter les chiens qui traversaient la route en forte pente et en lacets serrés (je conduisais un autocar. ce qui est parfaitement improbable, vu qu'à l'état de veille, même à jeun, je serais même bien en peine de conduire une bagnole). Il y avait des inondations (séquelles probables des évènements du mois dernier) et surtout une bonne femme qui, me parlant de son bonhomme, m'a expliqué doctement (je cite verbatim) : "je ne devrais pas vous le dire, mais en tant qu'adulte, il se nourrit de mon zovchile." Ça ma gonfle quand mes rêves inventent des mots comme ça, un peu comme celui où une espèce de Gaulois abattait devant moi une sorte de sanglier sans tête pour me le préparer en vue du dîner, un bestiau qu'il appelait le "balivron", ou peut-être me précisait-il qu'on pouvait justement le manger parce que ce n'était pas un balivron et que du coup c'était bon, paraît-il (je n'ai jamais su, vu que je m'étais réveillé avant qu'il n'ait fini de le faire rôtir).
Mais là, le zovchile, rien que la façon dont elle en parlait, ça avait l'air dégueulasse.
Ça m'a réveillé direct, en fait. à cinq heures du mat'. Et j'ai pas osé aller me couler un café. De peur qu'il ait un méchant arrière-goût de zovchile. On ne sait jamais.
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