Peut-être qu'en fait, si le programme SETI ne trouve rien, aucun message radio provenant des étoiles, c'est que nos amis extraterrestres sont trop avancés pour ça.
Grosso modo, le programme SETI cherche des redondances et des structures dans les signaux radio parcourant le ciel étoilé. Les étoiles et les planètes elles-mêmes produisent énormément d'ondes radio, mais elles sont bordéliques et ne contiennent pas de message.
Le truc, c'est que les redondances, c'est précisément ce qu'on élimine quand on compresse un signal. Et plus les signaux sont complexes et denses, plus il est intéressant de les compresser pour les transmettre plus rapidement, et plus efficacement.
Si ça se trouve, les extraterrestres de l'espace qui en sont encore à utiliser la radio au lieu de la télépathie (il y a des civilisations arriérées partout, ma bonne dame, que voulez-vous, on en parlait pas plus tard que l'autre jour à la télé avec Monsieur Claude G., du Kop de Boulogne), peut-être qu'ils ultracompressent leurs données selon des algorithmes tellement avancés que nous sommes incapables de les identifier et de les décompresser. Et si ça se trouve, en plus, leur protocole est propriétaire et on n'a pas la licence pour le logiciel.
C'est baisé, quoi. On ne saura jamais ce qu'ils racontent.
Dans un tout autre domaine, je me suis aperçu que les jeunes d'aujourd'hui n'ont plus aucune ambition. J'ai croisé pas plus tard que ce midi un jeune homme de cinq ans qui voulait devenir ninja. C'est nul, de vouloir devenir ninja. C'est bouché, comme filière. Il y a déjà trop de ninjas partout. Mon propre fils, au même âge, il voulait devenir Dark Vador, lui. Ça a quand même plus la classe, je trouve. C'était se fixer des objectifs drôlement plus élevés, à mon avis.
Grosso modo, le programme SETI cherche des redondances et des structures dans les signaux radio parcourant le ciel étoilé. Les étoiles et les planètes elles-mêmes produisent énormément d'ondes radio, mais elles sont bordéliques et ne contiennent pas de message.
Le truc, c'est que les redondances, c'est précisément ce qu'on élimine quand on compresse un signal. Et plus les signaux sont complexes et denses, plus il est intéressant de les compresser pour les transmettre plus rapidement, et plus efficacement.
Si ça se trouve, les extraterrestres de l'espace qui en sont encore à utiliser la radio au lieu de la télépathie (il y a des civilisations arriérées partout, ma bonne dame, que voulez-vous, on en parlait pas plus tard que l'autre jour à la télé avec Monsieur Claude G., du Kop de Boulogne), peut-être qu'ils ultracompressent leurs données selon des algorithmes tellement avancés que nous sommes incapables de les identifier et de les décompresser. Et si ça se trouve, en plus, leur protocole est propriétaire et on n'a pas la licence pour le logiciel.
C'est baisé, quoi. On ne saura jamais ce qu'ils racontent.
Dans un tout autre domaine, je me suis aperçu que les jeunes d'aujourd'hui n'ont plus aucune ambition. J'ai croisé pas plus tard que ce midi un jeune homme de cinq ans qui voulait devenir ninja. C'est nul, de vouloir devenir ninja. C'est bouché, comme filière. Il y a déjà trop de ninjas partout. Mon propre fils, au même âge, il voulait devenir Dark Vador, lui. Ça a quand même plus la classe, je trouve. C'était se fixer des objectifs drôlement plus élevés, à mon avis.
Commentaires
Maintenant, faudrait plutôt faire dans le ninja cosmique !