Ce qu'il y a de bien, avec le retour des beaux jours, c'est que c'est aussi le retour des brocantes et des bacs à bouquins mis devant les librairies.
C'est comme ça qu'à vil prix j'ai récupéré un recueil de nouvelles de Robert E. Howard en Néo, dont je n'avais qu'une partie dispersée dans d'autres recueils (qui eux ne bénéficiaient pas des couves de Nicollet, en plus), un James Blish que je connaissais pas, un Leo Perutz dont on m'avait dit grand bien, et même le tome 2 des enquêtes de Lord Darcy, que je cherchais depuis des années. Plus Sur l'onde de choc, de John Brunner en poche, un bouquin que j'adore mais que je n'avais pas ou plus (prêté et jamais revu, comme souvent). C'est un bouquin que je cite souvent en exemple de bonne prospective SF : si Brunner se plante complètement sur les aspects purement technologiques de l'informatique (qui en était encore aux gros monstres austères de la taille d'un congélateur), il en avait parfaitement saisi les conséquences sociales au moment de l'avènement des réseaux (rappelons qu'à l'époque de la rédaction dudit bouquin, Arpanet n'était encore qu'un bidule expérimental à usage militaire, que les militaires comprenaient tellement qu'ils avaient fini par le refiler aux universitaires, qui l'ont bidouillé et rebidouillé jusqu'à en faire l'internet de maintenant) (fin du cours d'histoire). Brunner prédit de façon étonnante l'avènement de la communauté des hackers, et même les "vers" dans le réseau. Très chouette bouquin, donc, comme tout ce qui est estampillé John Brunner de toute façon.
Ah, et j'ai récupéré un Louis Charpentier, aussi. J'adore ses bouquins, à Charpentier. Ses théories, si farfelues soient-elles, ont toujours une espèce de puissance visionnaire qui est pain bénit pour un auteur dans mon genre. Je regrette de ne pas avoir pu intégrer plus de ses envolées templières dans Crusades, par exemple. Il y aurait eu matière, pourtant...
C'est comme ça qu'à vil prix j'ai récupéré un recueil de nouvelles de Robert E. Howard en Néo, dont je n'avais qu'une partie dispersée dans d'autres recueils (qui eux ne bénéficiaient pas des couves de Nicollet, en plus), un James Blish que je connaissais pas, un Leo Perutz dont on m'avait dit grand bien, et même le tome 2 des enquêtes de Lord Darcy, que je cherchais depuis des années. Plus Sur l'onde de choc, de John Brunner en poche, un bouquin que j'adore mais que je n'avais pas ou plus (prêté et jamais revu, comme souvent). C'est un bouquin que je cite souvent en exemple de bonne prospective SF : si Brunner se plante complètement sur les aspects purement technologiques de l'informatique (qui en était encore aux gros monstres austères de la taille d'un congélateur), il en avait parfaitement saisi les conséquences sociales au moment de l'avènement des réseaux (rappelons qu'à l'époque de la rédaction dudit bouquin, Arpanet n'était encore qu'un bidule expérimental à usage militaire, que les militaires comprenaient tellement qu'ils avaient fini par le refiler aux universitaires, qui l'ont bidouillé et rebidouillé jusqu'à en faire l'internet de maintenant) (fin du cours d'histoire). Brunner prédit de façon étonnante l'avènement de la communauté des hackers, et même les "vers" dans le réseau. Très chouette bouquin, donc, comme tout ce qui est estampillé John Brunner de toute façon.
Ah, et j'ai récupéré un Louis Charpentier, aussi. J'adore ses bouquins, à Charpentier. Ses théories, si farfelues soient-elles, ont toujours une espèce de puissance visionnaire qui est pain bénit pour un auteur dans mon genre. Je regrette de ne pas avoir pu intégrer plus de ses envolées templières dans Crusades, par exemple. Il y aurait eu matière, pourtant...
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