"Mais pour qui vous prenez-vous ?" Voilà bien une question qui m'insupporte, tiens. Bon, ça fait longtemps qu'on ne me l'a pas trop adressée, vu que la réponse est alors "pour un Serbe de 2 mètres et 110 kilos, pourquoi ?" ce qui peut avoir tendance à calmer le jeu, surtout si je pose bien ma voix. Mais bon, quelqu'un que je connait y a encore eu droit. Qu'est-ce qu'elle signifie, cette question qui n'en est pas une ? Elle n'en est pas une parce que la réponse induite, dans la tête de qui la pose est : "quelqu'un qui n'a pas à la ramener". C'est le signe d'une absence d'argument, c'est le dernier recours pour maintenir une position de surplomb symbolique, de se raccrocher à une convention sociale fumeuse qui permet de rester au-dessus, de balayer le désaccord en le ramenant à l'aigreur du petit (par coïncidence, c'est un peu le sens de la longue tirade de la responsable du festival d'Angou...
Des lunettes pour voir l'invisible en relief !
Commentaires
Le Fulchibar est en toi, mécréant !
"dans les bacs de vos libraires, vous pourrez le constater en lisant mes dernières trads : Monsieur Personne, Kick Ass, Ocean et Black Kiss, et chez votre marchand de journaux, les Chroniques de Spawn, un Dark Reign Saga et le Star Wars Collector ."
OK je sors.
Mais j'ai une excuse, c'est lundi.
Et chuis fatiguée.
Dessiné tard.
O.
PS j'ai juste ?
Non.