Hein ? Non, ce titre grotesque n'a strictement rien à voir avec le contenu de la note d'aujourd'hui.
Qui n'a elle-même pas grand-chose à voir avec rien.
C'est juste une série de conseils de lecture, les trucs que j'ai lus récemment et trouvé bien :
Le Festival de la couille et autres histoires vraies, de Chuck Pahlaniuk, chez Folio. De purs moment de journalisme gonzo et de réflexions sur son propre travail par un auteur que j'aime bien.
Le facteur temps ne sonne jamais deux fois, par Etienne Klein, chez Champs Flammarion. Du pointu, mais par un vulgarisateur très efficace. Klein m'impressionne régulièrement par sa capacité à énoncer en termes clairs des complexités cosmo beyonderesques qui savatent la tête.
The Lives and Times of Jerry Cornelius: Stories of the Comic Apocalypse, par Michael Moorcock, chez Four Walls Eight Windows. Ça n'a jamais été traduit, ça, si ? C'est un recueil de nouvelles, dont certaines ont été disponibles jadis en VF, mais pas toutes. Et c'est du tout bon, pourtant.
Dire presque la même chose, par Umberto Eco, au Livre de Poche. Beau bouquin sur la traduction, par un grand monsieur donc l'immense culture n'a d'égal que son humour à froid et son délicieux sens de l'ironie. Histoire de rappeler que la fidélité à l'esprit d'un texte est plus importante que la fidélité à sa lettre, et que les deux sont parfois incompatibles.
Qui n'a elle-même pas grand-chose à voir avec rien.
C'est juste une série de conseils de lecture, les trucs que j'ai lus récemment et trouvé bien :
Le Festival de la couille et autres histoires vraies, de Chuck Pahlaniuk, chez Folio. De purs moment de journalisme gonzo et de réflexions sur son propre travail par un auteur que j'aime bien.
Le facteur temps ne sonne jamais deux fois, par Etienne Klein, chez Champs Flammarion. Du pointu, mais par un vulgarisateur très efficace. Klein m'impressionne régulièrement par sa capacité à énoncer en termes clairs des complexités cosmo beyonderesques qui savatent la tête.
The Lives and Times of Jerry Cornelius: Stories of the Comic Apocalypse, par Michael Moorcock, chez Four Walls Eight Windows. Ça n'a jamais été traduit, ça, si ? C'est un recueil de nouvelles, dont certaines ont été disponibles jadis en VF, mais pas toutes. Et c'est du tout bon, pourtant.
Dire presque la même chose, par Umberto Eco, au Livre de Poche. Beau bouquin sur la traduction, par un grand monsieur donc l'immense culture n'a d'égal que son humour à froid et son délicieux sens de l'ironie. Histoire de rappeler que la fidélité à l'esprit d'un texte est plus importante que la fidélité à sa lettre, et que les deux sont parfois incompatibles.
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