Dans mon rêve de cette nuit, j'étais confronté à la fin de l'univers, rien que ça.
C'était une apocalypse de comic book, avec un super-méchant à la Sinestro, couleur zarbi, moustache de Fu-Man-Chu et front bulbeux de rigueur, qui s'énervait pour un truc débile et déchaînait ses pouvoirs en beuglant un truc du genre "je vais réduire tout l'univers à un point géométrique et ils l'auront tous dans le cul, hahaha, ces cons !"
La légion de super-héros héros destinée à l'arrêter avait été remplacée à la dernière minute par moi et une bande de potes, parce que j'ai bien l'impression qu'elle se trouvait dans un secteur compressé en priorité par le super-vilain. On se demandait s'il fallait vraiment mettre des costumes pour l'occasion, ou s'il ne valait pas mieux aller discuter en civil avec le méchant, lui offrir un verre ou un café, trouver à le calmer, quoi, sans l'énerver d'avantage en s'affichant avec des collants de toutes les couleurs, qui en plus ne nous auraient pas été au teint.
Très curieusement, le point focal de ce déchaînement compressif flottait au-dessus d'un parc forestier, devant lequel avait lieu une manif dont je ne suis pas certain qu'elle avait le moindre rapport avec les évènements en cours. Fendant la foule des porteurs de pancartes, des genres d'indignés bien énervés, le petit groupe des sauveurs de l'univers en jeans et t-shirts informes réussit à se positionner sous la boule énergétique d'un blanc éclatant qui attirait à elle des éléments de l'univers et les agrégeait à sa masse en contraction. Mais curieusement, elle n'attirait pas les éléments du parc et de ses alentours, en vertu d'une quelconque distorsion d'espace-temps que je comprenais dans mon rêve (je tentais de l'expliquer à mes collègues) et que je ne comprends plus à l'état de veille, probablement parce qu'en vrai, elle n'a strictement aucun sens.
Je vis passer un Anti-Monitor qui fut englouti en hurlant dans la sphère akiresque de la fin de toute chose. Prenant Sinestro chacun par un bras, nous l'emmenâmes dans l'espèce de grande maison forestière au milieu du parc, un très beau club privé à la déco rustique de bois patiné, de vieilles lampes à pétrole en cuivre et de vieilles affiches de voyage datant de la Cunard Line et des Chemins de Fer de l'Est.
Le sinestroïde une fois juché sur un tabouret de bar, je fis signe à l'aubergiste, qui fronça le nez en voyant nos dégaines, mais vint néanmoins servir les alcools demandés.
Une fois équipés, nous avons tenté de convaincre notre bonhomme que ses solutions étaient peut-être un peu drastiques.
Je me suis réveillé à ce moment-là, et comme l'univers est encore debout, je suppose que les négociations ont pris une bonne tournure.
Mais je me dis aussi que j'ai peut-être un peu abusé sur la fondue, hier soir. Ça ne me réussit pas.
C'était une apocalypse de comic book, avec un super-méchant à la Sinestro, couleur zarbi, moustache de Fu-Man-Chu et front bulbeux de rigueur, qui s'énervait pour un truc débile et déchaînait ses pouvoirs en beuglant un truc du genre "je vais réduire tout l'univers à un point géométrique et ils l'auront tous dans le cul, hahaha, ces cons !"
La légion de super-héros héros destinée à l'arrêter avait été remplacée à la dernière minute par moi et une bande de potes, parce que j'ai bien l'impression qu'elle se trouvait dans un secteur compressé en priorité par le super-vilain. On se demandait s'il fallait vraiment mettre des costumes pour l'occasion, ou s'il ne valait pas mieux aller discuter en civil avec le méchant, lui offrir un verre ou un café, trouver à le calmer, quoi, sans l'énerver d'avantage en s'affichant avec des collants de toutes les couleurs, qui en plus ne nous auraient pas été au teint.
Très curieusement, le point focal de ce déchaînement compressif flottait au-dessus d'un parc forestier, devant lequel avait lieu une manif dont je ne suis pas certain qu'elle avait le moindre rapport avec les évènements en cours. Fendant la foule des porteurs de pancartes, des genres d'indignés bien énervés, le petit groupe des sauveurs de l'univers en jeans et t-shirts informes réussit à se positionner sous la boule énergétique d'un blanc éclatant qui attirait à elle des éléments de l'univers et les agrégeait à sa masse en contraction. Mais curieusement, elle n'attirait pas les éléments du parc et de ses alentours, en vertu d'une quelconque distorsion d'espace-temps que je comprenais dans mon rêve (je tentais de l'expliquer à mes collègues) et que je ne comprends plus à l'état de veille, probablement parce qu'en vrai, elle n'a strictement aucun sens.
Je vis passer un Anti-Monitor qui fut englouti en hurlant dans la sphère akiresque de la fin de toute chose. Prenant Sinestro chacun par un bras, nous l'emmenâmes dans l'espèce de grande maison forestière au milieu du parc, un très beau club privé à la déco rustique de bois patiné, de vieilles lampes à pétrole en cuivre et de vieilles affiches de voyage datant de la Cunard Line et des Chemins de Fer de l'Est.
Le sinestroïde une fois juché sur un tabouret de bar, je fis signe à l'aubergiste, qui fronça le nez en voyant nos dégaines, mais vint néanmoins servir les alcools demandés.
Une fois équipés, nous avons tenté de convaincre notre bonhomme que ses solutions étaient peut-être un peu drastiques.
Je me suis réveillé à ce moment-là, et comme l'univers est encore debout, je suppose que les négociations ont pris une bonne tournure.
Mais je me dis aussi que j'ai peut-être un peu abusé sur la fondue, hier soir. Ça ne me réussit pas.
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