Là, ce sont les fêtes. Un moment où on lève le pied niveau boulot ne serait-ce que pour prendre le temps de digérer tranquillement le foie gras, le Gewurztraminer, la buche et tout ce qui s'ensuit.
Et parfois, quand on comate gentiment sur un canapé, la main se tend machinalement vers la télécommande. On se dit qu'en période de fêtes, la télé passera forcément un truc un peu rigolo, un vieux Pierre Richard, ou alors gentiment nostalgique, un Western de l'âge héroïque ou un film d'aventures avec Cary Grant, bref de quoi égayer gentiment la douce torpeur post-prandiale qui accompagne les après-midi de la fin décembre.
Et puis au lieu de ça, on tombe sur des programmes comme la chose nommé LOL;-), sur une chaine de service public. C'est probablement ça qui est le plus navrant, en fait. Les gens qui ont commis ça n'ont même pas l'excuse d'être sur un canal tenu par des rebuts décavés de bande FM ou des fins de soirée de TF1 comme NRJ12. Non, là il s'agit bien d'un truc financé par la redevance. C'est fait avec votre pognon. Et le mien.
Et LOL;-), c'est grosso modo du néo Benny Hill, sans plus même l'excuse de la figure vaguement charismatique (pour peu qu'on ait suffisamment bu) du biflandais rondouillard ni de son aspect patrimonial des mauvais jours, ni la musique rigolote. Dans un certain nombre de pays amis de la France, un tel programme vaudrait à ses responsables et à ses scénariste une exécution sommaire au petit matin. Voire de participer en payant de leur personne à l'entretien des crocodiles des jardins du palais présidentiel.
La consommation de cocaïne de rigueur à la télévision n'explique et n'excuse pas tout. Là, il y a vraiment un problème, et j'appelle solennellement au rétablissement de la flagellation publique et du pilori, parce que merde, quoi, même les bornes doivent avoir des limites, et la dernière fois que j'ai vérifié, le seul truc qu'on exigeait de l'humour, c'était d'être au moins un peu drôle. Pas forcément fin, ni de bon goût. Juste drôle, quoi. Alors que là, on se prend à regretter Jean Roucas.
Et c'est mal.
Et parfois, quand on comate gentiment sur un canapé, la main se tend machinalement vers la télécommande. On se dit qu'en période de fêtes, la télé passera forcément un truc un peu rigolo, un vieux Pierre Richard, ou alors gentiment nostalgique, un Western de l'âge héroïque ou un film d'aventures avec Cary Grant, bref de quoi égayer gentiment la douce torpeur post-prandiale qui accompagne les après-midi de la fin décembre.
Et puis au lieu de ça, on tombe sur des programmes comme la chose nommé LOL;-), sur une chaine de service public. C'est probablement ça qui est le plus navrant, en fait. Les gens qui ont commis ça n'ont même pas l'excuse d'être sur un canal tenu par des rebuts décavés de bande FM ou des fins de soirée de TF1 comme NRJ12. Non, là il s'agit bien d'un truc financé par la redevance. C'est fait avec votre pognon. Et le mien.
Et LOL;-), c'est grosso modo du néo Benny Hill, sans plus même l'excuse de la figure vaguement charismatique (pour peu qu'on ait suffisamment bu) du biflandais rondouillard ni de son aspect patrimonial des mauvais jours, ni la musique rigolote. Dans un certain nombre de pays amis de la France, un tel programme vaudrait à ses responsables et à ses scénariste une exécution sommaire au petit matin. Voire de participer en payant de leur personne à l'entretien des crocodiles des jardins du palais présidentiel.
La consommation de cocaïne de rigueur à la télévision n'explique et n'excuse pas tout. Là, il y a vraiment un problème, et j'appelle solennellement au rétablissement de la flagellation publique et du pilori, parce que merde, quoi, même les bornes doivent avoir des limites, et la dernière fois que j'ai vérifié, le seul truc qu'on exigeait de l'humour, c'était d'être au moins un peu drôle. Pas forcément fin, ni de bon goût. Juste drôle, quoi. Alors que là, on se prend à regretter Jean Roucas.
Et c'est mal.
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