Hop, me voilà reviendu de ma séance de dédicaces chez Gibert, et du fait d'une grève de RER, il a fallu que je finisse à pied le trajet, on est pas aidé, et en plus le boulevard est en côte, ah-la-la, je vous jure.
Pas d'exemplaires de Burton, le carton les contenant ayant été victime d'un sort funeste qui prouve que je ne suis pas le seul à être atteint du syndrome de Pierre Richard. Ou alors c'est que mon cas est tellement grave que j'émet une espèce de champ karmique qui provoque des catastrophes à distance, c'est possible aussi, allez savoir. Pourtant, je portais mon authentique colifichet maya anti fin du monde, un petit chapelet de crânes en plâtre du meilleur effet, que j'invitais les gens à toucher pour bénéficier de sa protection garantie contre les effets délétères de la fin du monde. Heureusement, il y avait plein de Crusades, de Mythe & Super-Héros et bien entendu, d'Apocalypses, une brève histoire de la fin des temps, parce qu'une dernière dédicace avant la fin du monde ne ressemblerait pas à grand-chose sans bouquins à dédicacer.
En tout cas ce fut bien sympathique, avec les inévitables amis qui passent dire bonjour et papoter deux minutes, les badauds qui feuillettent les bouquins avant de les reposer, les petites mamies qui me prennent pour un libraire et me demandent où est passé le rayon polar, les gens qui découvrent mon boulot, et puis une catégorie à part, celle des authentiques fans qui arrivent un peu émus ou un peu contents ou un peu amusés de me rencontrer en vrai (ils et elles se reconnaîtront), ce qui me fait toujours un peu tout drôle mais aussi très plaisir (comme la fois où un stagiaire des Humanos que j'avais croisé une ou deux fois dans les bureaux avait fini par apprendre qui j'étais et m'avait sauté dessus en disant "mais… t'es Nikolavitch ? j'adore tes traductions !", et d'ailleurs il est devenu traducteur depuis).
Bref, un peu vanné, donc je ne vais pas me fendre d'une armageddon party. Pour citer un grand philosophe de notre temps (Danny Glover, pour ne pas le nommer), "chuis trop vieux pour ces conneries".
Et du coup, je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager une jolie image sur le sujet, qui sort du blog de Gewll, qui est tout plein de jolies images dans le genre. J'espère qu'il ne m'en voudra pas.
Pas d'exemplaires de Burton, le carton les contenant ayant été victime d'un sort funeste qui prouve que je ne suis pas le seul à être atteint du syndrome de Pierre Richard. Ou alors c'est que mon cas est tellement grave que j'émet une espèce de champ karmique qui provoque des catastrophes à distance, c'est possible aussi, allez savoir. Pourtant, je portais mon authentique colifichet maya anti fin du monde, un petit chapelet de crânes en plâtre du meilleur effet, que j'invitais les gens à toucher pour bénéficier de sa protection garantie contre les effets délétères de la fin du monde. Heureusement, il y avait plein de Crusades, de Mythe & Super-Héros et bien entendu, d'Apocalypses, une brève histoire de la fin des temps, parce qu'une dernière dédicace avant la fin du monde ne ressemblerait pas à grand-chose sans bouquins à dédicacer.
En tout cas ce fut bien sympathique, avec les inévitables amis qui passent dire bonjour et papoter deux minutes, les badauds qui feuillettent les bouquins avant de les reposer, les petites mamies qui me prennent pour un libraire et me demandent où est passé le rayon polar, les gens qui découvrent mon boulot, et puis une catégorie à part, celle des authentiques fans qui arrivent un peu émus ou un peu contents ou un peu amusés de me rencontrer en vrai (ils et elles se reconnaîtront), ce qui me fait toujours un peu tout drôle mais aussi très plaisir (comme la fois où un stagiaire des Humanos que j'avais croisé une ou deux fois dans les bureaux avait fini par apprendre qui j'étais et m'avait sauté dessus en disant "mais… t'es Nikolavitch ? j'adore tes traductions !", et d'ailleurs il est devenu traducteur depuis).
Bref, un peu vanné, donc je ne vais pas me fendre d'une armageddon party. Pour citer un grand philosophe de notre temps (Danny Glover, pour ne pas le nommer), "chuis trop vieux pour ces conneries".
Et du coup, je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager une jolie image sur le sujet, qui sort du blog de Gewll, qui est tout plein de jolies images dans le genre. J'espère qu'il ne m'en voudra pas.
Commentaires
ravis d'être cité sur ton blog qui soit dit en
passant me fait énormément rire ,un rire
complice bien sûr !
Salut Nico.