"La décision que nous avons prise n'est pas une décision morale, c'est une décision politique".
Et c'est pas pas moi qui le dis, c'est François Fillon, notre bien aimé Premier Sinistre. C'est très bien qu'il le rappelle, ça, parce qu'on a trop tendance à l'oublier : la morale et la politique, c'est deux choses très différentes et il faut pas tout mélanger. Si on mélangeait morale et politique, on n'aurait pas Longuet et Juppé au gouvernement. Ce serait dommage, quand même, de se passer de ces deux grands spécialistes de la politique qui ont bien montré leur capacité à faire la part des choses et à ne pas s'embarrasser sottement de considérations bassement éthiques.
Mais on peut médire tant qu'on veut*. Du haut de leur superbe altière, ils nous répondront "même pas MAM".
Elle aurait été au salon de l'agriculture au lieu de vouloir à tout crin des vacances au soleil, elle aurait quand même eu moins d'emmerdes, je dis.
*Mais médire est un devoir citoyen, quoi qu'en dise monsieur Patrick Ollier, qui a improbablement sauvé son portefeuille ministériel, illustrant d'ailleurs ainsi, et avec brio, notre propos développé ci-dessus. Il faut médire en toute occasion, car qui ne médit consent.
Et c'est pas pas moi qui le dis, c'est François Fillon, notre bien aimé Premier Sinistre. C'est très bien qu'il le rappelle, ça, parce qu'on a trop tendance à l'oublier : la morale et la politique, c'est deux choses très différentes et il faut pas tout mélanger. Si on mélangeait morale et politique, on n'aurait pas Longuet et Juppé au gouvernement. Ce serait dommage, quand même, de se passer de ces deux grands spécialistes de la politique qui ont bien montré leur capacité à faire la part des choses et à ne pas s'embarrasser sottement de considérations bassement éthiques.
Mais on peut médire tant qu'on veut*. Du haut de leur superbe altière, ils nous répondront "même pas MAM".
Elle aurait été au salon de l'agriculture au lieu de vouloir à tout crin des vacances au soleil, elle aurait quand même eu moins d'emmerdes, je dis.
*Mais médire est un devoir citoyen, quoi qu'en dise monsieur Patrick Ollier, qui a improbablement sauvé son portefeuille ministériel, illustrant d'ailleurs ainsi, et avec brio, notre propos développé ci-dessus. Il faut médire en toute occasion, car qui ne médit consent.
Commentaires
Ah, si Bordeaux pouvait se soulever...
O.