Une certaine Rosetta (probablement la femme de ménage, faut se méfier du petit personnel, j'ai entendu parler d'un maître d'hôtel à Neuilly qui... Enfin, passons) a pris des photos des poubelles du Lutetia :
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Ah. On me souffle dans l'oreillette que la Rosetta en question n'est pas une femme de ménage mais une sonde spatiale de l'ESA dont le prix couvrirait presque à lui tout seul celui de la fraude fiscale présumée de la patronne du maître d'hôtel évoqué ci-dessus. Et que ce n'est pas "le" Lutetia, mais Lutetia tout court. Un astéroïde*. Quelle connerie de donner des noms d'hôtels de luxe à des astéroïdes. On va finir avec la planète Sheraton et, Dieu nous en garde, la Galaxie Hilton, si ça continue comme ça. Et l'amas stellaire Crillon, sans doute. Grands dieux.
Mais bon, quelle lamentable méprise. Et tenez, il m'a fallu du temps pour piger que la madame qui a peut-être escroqué le fisc français n'est pas la même que celle qui réclame du pognon au gouvernement colombien. Ça se dit pareil, mais ça ne s'écrit pas pareil. C'est terrible.
Et pendant ce temps-là, du coup, personne ne parle de Victor de la Fuente. Chapeau l'artiste. Tu nous manqueras.
*notons qu'il y a une vingtaine d'années, le petit George L. de Modesto, Californie, obtenait des clichés d'astéroïdes de meilleure qualité et en couleurs, je vous prie, pour le prix d'un sac de patates... pardon, de pommes de terre... de modèle courant (voir notre note du 4 novembre dernier).
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Ah. On me souffle dans l'oreillette que la Rosetta en question n'est pas une femme de ménage mais une sonde spatiale de l'ESA dont le prix couvrirait presque à lui tout seul celui de la fraude fiscale présumée de la patronne du maître d'hôtel évoqué ci-dessus. Et que ce n'est pas "le" Lutetia, mais Lutetia tout court. Un astéroïde*. Quelle connerie de donner des noms d'hôtels de luxe à des astéroïdes. On va finir avec la planète Sheraton et, Dieu nous en garde, la Galaxie Hilton, si ça continue comme ça. Et l'amas stellaire Crillon, sans doute. Grands dieux.
Mais bon, quelle lamentable méprise. Et tenez, il m'a fallu du temps pour piger que la madame qui a peut-être escroqué le fisc français n'est pas la même que celle qui réclame du pognon au gouvernement colombien. Ça se dit pareil, mais ça ne s'écrit pas pareil. C'est terrible.
Et pendant ce temps-là, du coup, personne ne parle de Victor de la Fuente. Chapeau l'artiste. Tu nous manqueras.
*notons qu'il y a une vingtaine d'années, le petit George L. de Modesto, Californie, obtenait des clichés d'astéroïdes de meilleure qualité et en couleurs, je vous prie, pour le prix d'un sac de patates... pardon, de pommes de terre... de modèle courant (voir notre note du 4 novembre dernier).
Commentaires
Ah merde ! Grand bonhomme. J'avais croisé le gars du temps de Semic, il parlait de tas de choses, il nous avait parlé de Pratt et de Steranko…
Misère !
Jim