Une fois encore, j'ai du mal à venir m'épancher sur la War Zone. Parce qu'une fois encore, c'est le souk par ici. Entre divers trucs de boulot que je dois concilier, encore un de mes proches qui vient de passer une petite semaine à l'hosto (pour un truc pas grave, mais qui a dérapé), une cavalcade à Lyon qui m'a accessoirement permis de prendre le petit dèj avec deux auteurs que j'apprécie fort, à savoir Thomas Day et Norman Spinrad (en fait, Spinrad était à la table d'à côté, on n'a échangé que quelques phrases, mais ça m'a fait quelque chose) (c'est Spinrad, quoi) (bon, à présent, l'écrivain le plus punk de sa génération est devenu un vieux monsieur, c'est très étrange) (et j'ai pu me faire signer son dernier bouquin sorti) (qui m'a agacé, parce qu'il reprend une idée que j'ai échoué à développer en BD y a quelques années) (mais tant qu'à voir ses idées trouvées par quelqu'un d'autre, autant que ce soit par un type dont on aime le travail) (j'avais pas dit, y a quelques années, que j'arrêtais ces chaînages de parenthèses, moi ?) (si, je l'ai dit, mais là, je suis crevé) (donc je m'arroge le droit à chaîner les parenthèses comme un goret) (au fait, si vous ne savez pas qui est Spinrad, je ne vous parle plus. Allez lire d'urgence Jack Baron et l'Eternité, ou Les Miroirs de l'Esprit, ou n'importe quel autre de ses livres qui m'ont mis des claques)
La conférence à Lyon s'est bien passée, mais a débordé sur la fin, au moment des questions du public, de son sujet initial (le schéma campbellien de narration épique) à une digression sur un sujet passionnant qu'il faudra que j'évoque plus longuement à l'occasion (les grandes déesses proche-orientales du néolithique). Merci à toute l'organisation, au passage, et notamment à un certain Vil Faquin de ma connaissance.
Allez, je me remets au boulot. Fhtagn à tous !
PS : en rangeant mes rayonnages, je viens de découvrir que j'ai prêté Rêve de Fer, En Direct et Les Miroirs de l'Esprit. Et jamais récupérés. Bigre, faut que j'en reprenne des exemplaires.
La conférence à Lyon s'est bien passée, mais a débordé sur la fin, au moment des questions du public, de son sujet initial (le schéma campbellien de narration épique) à une digression sur un sujet passionnant qu'il faudra que j'évoque plus longuement à l'occasion (les grandes déesses proche-orientales du néolithique). Merci à toute l'organisation, au passage, et notamment à un certain Vil Faquin de ma connaissance.
Allez, je me remets au boulot. Fhtagn à tous !
PS : en rangeant mes rayonnages, je viens de découvrir que j'ai prêté Rêve de Fer, En Direct et Les Miroirs de l'Esprit. Et jamais récupérés. Bigre, faut que j'en reprenne des exemplaires.
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