Bon, le titre de cette entrée est la traduction très libre du refrain d'une chanson de Tom Jones consacrée à l'agent 007. Mais je rappelle aux enfants que je suis un traducteur professionnel. Vous, ne tentez sous aucun prétexte ce genre d'exercice à la maison, je décline toute responsabilité. Surtout que je fais ça par pur vice, vu que la suite n'a absolument aucun rapport. C'est juste que je soigne ma gastro explosive en me passant des vieilles musiques de film et en avalant des médocs par poignées entière comme un Elvis en rut.
Après cette digression liminaire, forcément, je ne sais même plus de quoi je voulais parler au départ. C'est malin. La gastro, c'est une chose terrible. Terrible. Ah, ça me revient, c'était aussi une histoire de fuites, tiens, dont je voulais vous parler. Je trouve assez amusant qu'Interpol lance un mandat international (ou Red Notice) contre la patron de Wikileaks pile au moment de l'histoire des archives diplomatiques américaines qui sont colportées partout. Parce que l'affaire qui justifie officiellement ce mandat (une sombre histoire de moeurs) me semble un peu anecdotique par rapport à la puissance de feu engagée : ce sont 188 pays qui sont censés participer à la chasse à l'homme. Jusqu'à présent, il me semblait que ce genre de moyens étaient réservés à des criminels de haut vol, genre mafieux russes, voleurs d'enfants, trafiquants de drogue ou terroristes. Pas sur une affaire de fesse pour laquelle il n'est même pas encore inculpé, et sur laquelle il n'existe que des "suspicions raisonnables", pas des preuves. Avouez que c'est curieux.
Bon, après, les deux Suédoises, à force de sortir des secrets d'état, j'imagine que ce garçon a fini par se prendre pour James Bond (qui se tape contractuellement deux nanas par film, rappelons-le) et qu'il aura voulu leur montrer ses couilles de tonnerre.
Après cette digression liminaire, forcément, je ne sais même plus de quoi je voulais parler au départ. C'est malin. La gastro, c'est une chose terrible. Terrible. Ah, ça me revient, c'était aussi une histoire de fuites, tiens, dont je voulais vous parler. Je trouve assez amusant qu'Interpol lance un mandat international (ou Red Notice) contre la patron de Wikileaks pile au moment de l'histoire des archives diplomatiques américaines qui sont colportées partout. Parce que l'affaire qui justifie officiellement ce mandat (une sombre histoire de moeurs) me semble un peu anecdotique par rapport à la puissance de feu engagée : ce sont 188 pays qui sont censés participer à la chasse à l'homme. Jusqu'à présent, il me semblait que ce genre de moyens étaient réservés à des criminels de haut vol, genre mafieux russes, voleurs d'enfants, trafiquants de drogue ou terroristes. Pas sur une affaire de fesse pour laquelle il n'est même pas encore inculpé, et sur laquelle il n'existe que des "suspicions raisonnables", pas des preuves. Avouez que c'est curieux.
Bon, après, les deux Suédoises, à force de sortir des secrets d'état, j'imagine que ce garçon a fini par se prendre pour James Bond (qui se tape contractuellement deux nanas par film, rappelons-le) et qu'il aura voulu leur montrer ses couilles de tonnerre.
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http://www.liberation.fr/monde/01012305696-hackers-vengeurs-et-espions-en-diligence