Je suis complètement au taquet, en ce moment. Trop de boulot, trop de travaux, trop de tout. Et pas assez de pognon, en prime. La routine, vous allez me dire, à juste raison, mais quand même. C'est usant.
Au rayon boulot, d'ailleurs, je traduis It's a bird, un graphic novel de Steven T. Seagle (rien à voir avec Steven Seagal, même si ça se prononce pareil), un truc autobiographique sur un scénariste qui se barre en vrille parce qu'on lui file du boulot et que ça se télescope avec sa vie personnelle. C'est vachement bien. Mais ça me parle un peu trop, là. (bon, ses problèmes perso sont autrement plus costauds que les miens).
Du coup, je suis un peu en mode bunker, enfermé dans mon bureau, et mon principal contact avec l'extérieur sont mes mômes qui m'appellent à table quand j'oublie l'heure des repas, et le mail occasionnel d'amis m'écrivant pour deviser de choses et d'autres. Plutôt d'autres, d'ailleurs.
Et là, sur la mailing liste secrète des traducteurs tarés, un estimable confrère (que vingt sept démons glaireux lui dévorent lentement le prépuce de l'intérieur en l'acomodant avec du vinaigre vieilli en fût de chêne) met le sujet Justin Bieber sur la table. Justin Bieber, je me dois de préciser que jusqu'à il y a dix minutes, (quinze, peut-être, le temps que je rédige cette notule effondrée), j'ignorais totalement ce que c'était. Echaudé néanmoins par mon expérience récente avec les trois curés qui chantent, j'ai préféré ne pas creuser la question. Mais la mailing list se mit à bruisser.
J'ai alors tenté une recherche google image pour voir à quoi j'avais affaire.
Je me refuse à faire de l'anti-jeunisme primaire. Mais avec la tête qu'a ce garçon, je crois que je n'irai même pas tenter d'écouter ses chansons. Rien que son regard suffit à m'en dissuader.
Vérification faite, le collègue qui avait tenté de me lancer là-dessus a avoué les raisons de son forfait : "Attends, si ça nous vaut une war zone de l'acabit de celle sur les curetons musicaux, moi je dis banco."
Il y a des gens franchement malveillants, quand même.
Au rayon boulot, d'ailleurs, je traduis It's a bird, un graphic novel de Steven T. Seagle (rien à voir avec Steven Seagal, même si ça se prononce pareil), un truc autobiographique sur un scénariste qui se barre en vrille parce qu'on lui file du boulot et que ça se télescope avec sa vie personnelle. C'est vachement bien. Mais ça me parle un peu trop, là. (bon, ses problèmes perso sont autrement plus costauds que les miens).
Du coup, je suis un peu en mode bunker, enfermé dans mon bureau, et mon principal contact avec l'extérieur sont mes mômes qui m'appellent à table quand j'oublie l'heure des repas, et le mail occasionnel d'amis m'écrivant pour deviser de choses et d'autres. Plutôt d'autres, d'ailleurs.
Et là, sur la mailing liste secrète des traducteurs tarés, un estimable confrère (que vingt sept démons glaireux lui dévorent lentement le prépuce de l'intérieur en l'acomodant avec du vinaigre vieilli en fût de chêne) met le sujet Justin Bieber sur la table. Justin Bieber, je me dois de préciser que jusqu'à il y a dix minutes, (quinze, peut-être, le temps que je rédige cette notule effondrée), j'ignorais totalement ce que c'était. Echaudé néanmoins par mon expérience récente avec les trois curés qui chantent, j'ai préféré ne pas creuser la question. Mais la mailing list se mit à bruisser.
J'ai alors tenté une recherche google image pour voir à quoi j'avais affaire.
Je me refuse à faire de l'anti-jeunisme primaire. Mais avec la tête qu'a ce garçon, je crois que je n'irai même pas tenter d'écouter ses chansons. Rien que son regard suffit à m'en dissuader.
Vérification faite, le collègue qui avait tenté de me lancer là-dessus a avoué les raisons de son forfait : "Attends, si ça nous vaut une war zone de l'acabit de celle sur les curetons musicaux, moi je dis banco."
Il y a des gens franchement malveillants, quand même.
Commentaires
PS : J'adore qu'un plan se déroule sans accroc.
je sais que c'est pour ça qu'on t'aime, mais... quand même. ça devient hardcore, là.