Je n'avais suivi que d'une oreille distraite le scandale à deux balle qui agite le milieu footballistique hexagonal. Pardon, le scandale à deux mille euros la nuit. Il faut dire que la footballitude ne m'a jamais particulièrement fasciné. Même à l'école primaire, les accros du foot étaient rarement mes potes.
Bref, j'avais vaguement appris par voie de presse que quelques uns des membres de l'élite footbatrucmuche mouillaient dans une pénible affaire de call-girl trop fraîche, et que du coup, des questions se posaient quant à la Coupe du Monde. Comme je le disais dernièrement, je regarde assez peu la télé en ce moment. Mais en période de Coupe du Monde, cette rareté finit par friser l'abstinence cathodique. J'en viens même à me passer de mon petit café au bistrot du coin pour échapper aux questions sur ce que j'ai pensé du match de la veille.
Donc, je savais que nos glorieux défenseurs du maillot bleu avaient mouillé autre chose que la chemise, et je m'en foutais assez. Et puis, aujourd'hui, il a fallu que je sorte de chez moi pour aller faire quelques courses. Et je suis passé devant un marchand de journaux. Et je m'y suis arrêté, pour voir ce qui sortait.
Et sur un étal, plusieurs revues annonçant les confessions fracassantes de la demoiselle qui avait déshonoré les Bleus en monnayant ses attraits. Jusqu'alors, je n'avais pas la moindre idée de la tête qu'elle pouvait avoir. Maintenant, je sais. Une espèce de Barbie peroxydée, lookée vulgaire (bon, je reconnais que sa profession n'a pas pour réputation de se singulariser par son élégance délicate et discrète), au regard annonciateurs des pires emmerdes (sur la couverture où elle n'avait pas été hypocritement floutée). Pour paraphraser le père Brassens, mais, par malheur, si le Ribéry, aux jeux de l'amour paye le prix, on sait qu'en revanche il ne brille ni par le goût, ni par l'esprit.
Et là, en voyant l'engin par qui le scandale est arrivé, fantasme ultime de caïd de banlieue en survète, biberonnant aux amphêtes, au tuning et au porno frelaté, on se dit que les footeux ont un imaginaire sexuel d'une rare pauvreté.
Plutôt que de leur jeter la pierre, montrons-les plutôt du doigt en riant.
Bref, j'avais vaguement appris par voie de presse que quelques uns des membres de l'élite footbatrucmuche mouillaient dans une pénible affaire de call-girl trop fraîche, et que du coup, des questions se posaient quant à la Coupe du Monde. Comme je le disais dernièrement, je regarde assez peu la télé en ce moment. Mais en période de Coupe du Monde, cette rareté finit par friser l'abstinence cathodique. J'en viens même à me passer de mon petit café au bistrot du coin pour échapper aux questions sur ce que j'ai pensé du match de la veille.
Donc, je savais que nos glorieux défenseurs du maillot bleu avaient mouillé autre chose que la chemise, et je m'en foutais assez. Et puis, aujourd'hui, il a fallu que je sorte de chez moi pour aller faire quelques courses. Et je suis passé devant un marchand de journaux. Et je m'y suis arrêté, pour voir ce qui sortait.
Et sur un étal, plusieurs revues annonçant les confessions fracassantes de la demoiselle qui avait déshonoré les Bleus en monnayant ses attraits. Jusqu'alors, je n'avais pas la moindre idée de la tête qu'elle pouvait avoir. Maintenant, je sais. Une espèce de Barbie peroxydée, lookée vulgaire (bon, je reconnais que sa profession n'a pas pour réputation de se singulariser par son élégance délicate et discrète), au regard annonciateurs des pires emmerdes (sur la couverture où elle n'avait pas été hypocritement floutée). Pour paraphraser le père Brassens, mais, par malheur, si le Ribéry, aux jeux de l'amour paye le prix, on sait qu'en revanche il ne brille ni par le goût, ni par l'esprit.
Et là, en voyant l'engin par qui le scandale est arrivé, fantasme ultime de caïd de banlieue en survète, biberonnant aux amphêtes, au tuning et au porno frelaté, on se dit que les footeux ont un imaginaire sexuel d'une rare pauvreté.
Plutôt que de leur jeter la pierre, montrons-les plutôt du doigt en riant.
Commentaires
Evidemment que c'est une mégapouffe blondasse et conne, une espèce de Paris Hilton miniature... T'as vu la tête des femmes-trophées des footballeurs ? Même celle du nain de l'Elysée, à côté, c'est Audrey Hepburn... Ce sont plus ou moins les goûts des français moyens, hélas, j'ai l'impression.
Cela recoupe en tout cas le profil de la "femme idéale" selon TF1, dans sa dernière émission de télé réalité... La candidate jugée la plus attirante et la plus sexy, c'était une décolorée barbie-esque à la peau grasse, bête, et avec des gros seins. Et l'homme idéal était un trentenaire bourré d'hormones et de stéroïdes qui avait l'air d'un ancien membre de boy-band...
Le footeux et le français moyen ont une imagination plus que limitée. Et ce n'est pas QUE moi qui le dit, c'est Boulet, en plus.
Ceci étant dit, j'ai un immense respect pour les travailleuses et travailleurs du sexe, qui en bavent en ce moment et sont bien loin d'une reconnaissance de leurs services par la loi (qui viendrait avec une protection pour celles et ceux qui ne choisissent pas ce métier, et/ou se font exploiter, bien sûr !), eu égard à leur grande conscience professionnelle (dont personnellement je ne pourrais pas faire preuve).
Voilàvoilàvoilà. Mais c'est une opinion qui ne regarde que moi...
Sinon elle a tout compris la petite, elle se fait 20000€ par mois, elle a dû plus que bien monnayer sa prestation voiciesque, et ça ne m'étonnerait pas qu'on la voit d'ici peu dans une émission de télé-irréalité sur TF1…
Après le cas Clara Morgane on voit maintenant des parents accompagner leurs filles à des castings pornos (j'avais lu un article là-dessus je ne sais plus où), bientôt les parents conseilleront à leurs filles de faire pute à footeux…