Pas encore complètement remis du festival. Par contre, il a fallu que je me remette à bosser dès lundi : des bouts de traducs à finir, et surtout des pages de script urgentes (voire urgentes depuis longtemps, vous voyez le genre) à écrire ou à réécrire, en grandes quantités. Mais le Burton 2 est quasi bouclé.
Du coup, je me vois mal m'épancher trop longuement. Et je vais donc m'en tirer par une pirouette, ou plus exactement par une citation du jour.
Comme souvent, elle est de mon estimable collègue Jay Wicky, qui parlait ce jour-là de Thelma et Louise, de Ridley Scott.
Du coup, je me vois mal m'épancher trop longuement. Et je vais donc m'en tirer par une pirouette, ou plus exactement par une citation du jour.
Comme souvent, elle est de mon estimable collègue Jay Wicky, qui parlait ce jour-là de Thelma et Louise, de Ridley Scott.
"Il fallait de grosses couilles pour faire un aussi bon film féministe."
Et je crois qu'il a raison. (et quand je me dis que c'est le même mec qui a fait le récent Robin des Bois tout pourri et l'inepte Prometheus, je me demande ce qu'ils foutent dans la flotte, à Hollywood.) (dans les narines, j'ai ma petite idée. mais même ça, ça n'explique pas tout, quoi)
Et je crois qu'il a raison. (et quand je me dis que c'est le même mec qui a fait le récent Robin des Bois tout pourri et l'inepte Prometheus, je me demande ce qu'ils foutent dans la flotte, à Hollywood.) (dans les narines, j'ai ma petite idée. mais même ça, ça n'explique pas tout, quoi)
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