Pour bosser, en ce moment, c'est ma playlist Bond qui tourne en boucle. Non que le boulot que j'abats en ce moment ait un quelconque rapport avec l'agent 007 (au fait, la bande annonce de Skyfall donne sacrément envie), mais une petite cure de John Barry et consorts ne fait jamais de mal.
Et les morceaux que je me passe vraiment le plus sont issus d'On ne vit que deux fois. Et plus j'y repense, plus je me dis que ce film est mon tout préféré des Sean Connery (mes deux autres du peloton de tête sont des non Connery, Permis de tuer avec Dalton et Casino Royale avec Craig). Il faut dire qu'On ne vit que deux fois a tous les éléments du mythe 007 tout en restant encore sur le fil, avant que la série ne bascule complètement dans l'autoparodie. Une bande son qui cogne dur (que ce soit pour les scènes spatiales et le vol en hélicoptère de poche), des cosmonautes, un repaire secret du méchant dans un volcan, Donald Pleasence en Blofeld, un combat de sumo, une armée de ninjas qui attaquent en descente en rappel avec des pistolets mitrailleurs et un combat de sumo. Bref, du très lourd. Oui, j'ai dit deux fois un combat de sumo, mais c'est cool, les combats de sumo, alors ça compte double. Et si on achète au poids, ça compte quadruple. Alors quand je dis du très lourd, du coup, c'est bien la preuve que je le pense vraiment.
Alors au rayon des curiosités, la chanson du film est interprétée par Nancy Sinatra et est très bien, mais il en existe un version que j'aime beaucoup par Shirley Bassey, et ça c'est hyper mieux, parce que Shirley Bassey et Bond, c'est toujours bien. Les chansons de Bassey sont ce qu'il y a de mieux dans Les diamants sont éternels, et aussi ce qu'il y a de mieux dans Moonraker (malgré la présence de Michael Lonsdale, qui est un plus pour n'importe quel film) (mais qui est compensée par la présence de Jean-Pierre Castaldi, qui est un moins dans n'importe quel film). Bref, Shirley Bassey sur You only live twice, c'est double win the yes.
Bon, bien évidemment, ces connards de Youdaube bloquent la diffusion hors site de la chanson. Si vous ne la connaissez pas, du coup, c'est là qu'il faut cliquer.
Et les morceaux que je me passe vraiment le plus sont issus d'On ne vit que deux fois. Et plus j'y repense, plus je me dis que ce film est mon tout préféré des Sean Connery (mes deux autres du peloton de tête sont des non Connery, Permis de tuer avec Dalton et Casino Royale avec Craig). Il faut dire qu'On ne vit que deux fois a tous les éléments du mythe 007 tout en restant encore sur le fil, avant que la série ne bascule complètement dans l'autoparodie. Une bande son qui cogne dur (que ce soit pour les scènes spatiales et le vol en hélicoptère de poche), des cosmonautes, un repaire secret du méchant dans un volcan, Donald Pleasence en Blofeld, un combat de sumo, une armée de ninjas qui attaquent en descente en rappel avec des pistolets mitrailleurs et un combat de sumo. Bref, du très lourd. Oui, j'ai dit deux fois un combat de sumo, mais c'est cool, les combats de sumo, alors ça compte double. Et si on achète au poids, ça compte quadruple. Alors quand je dis du très lourd, du coup, c'est bien la preuve que je le pense vraiment.
Alors au rayon des curiosités, la chanson du film est interprétée par Nancy Sinatra et est très bien, mais il en existe un version que j'aime beaucoup par Shirley Bassey, et ça c'est hyper mieux, parce que Shirley Bassey et Bond, c'est toujours bien. Les chansons de Bassey sont ce qu'il y a de mieux dans Les diamants sont éternels, et aussi ce qu'il y a de mieux dans Moonraker (malgré la présence de Michael Lonsdale, qui est un plus pour n'importe quel film) (mais qui est compensée par la présence de Jean-Pierre Castaldi, qui est un moins dans n'importe quel film). Bref, Shirley Bassey sur You only live twice, c'est double win the yes.
Bon, bien évidemment, ces connards de Youdaube bloquent la diffusion hors site de la chanson. Si vous ne la connaissez pas, du coup, c'est là qu'il faut cliquer.
Commentaires
Et certes, Permis de tuer.
C'est louche.
Vinzc, ouais, ça a l'air très bon, Hitlar ! Enfin, très bon, je ne sais pas si c'est le mot. Mais digne d'être creusé, oui, vu les gouts.... hum... alternatifs... professés dans le coin.