Quand j'étais minot et que j'étais malade, j'avais toujours un petit cadeau pour égayer les journées passées claquemuré dans ma chambre. C'était généralement un bouquin, une bd, une maquette quelconque. C'était sympa. J'aimais bien.
Et là, j'ai passé l'essentiel de ma journée au fond de mon lit, avec 40 de fièvre. J'ai tenté de faire de la traduction sur un ordinateur portable, j'ai lâché l'affaire au bout d'une heure et deux pages.
Et puis le facteur est venu toquer à la porte....
Et j'ai eu une BD, comme quand j'étais petit. L'ami Munaro m'a envoyé le dernier French Crow, dans lequel il réalise un segment. C'est ultra sympa, et en plus, ça m'a fait plaisir pour une raison toute bête : le retour d'une vieille tradition oubliée.
Merci, l'ami !
Et là, j'ai passé l'essentiel de ma journée au fond de mon lit, avec 40 de fièvre. J'ai tenté de faire de la traduction sur un ordinateur portable, j'ai lâché l'affaire au bout d'une heure et deux pages.
Et puis le facteur est venu toquer à la porte....
Et j'ai eu une BD, comme quand j'étais petit. L'ami Munaro m'a envoyé le dernier French Crow, dans lequel il réalise un segment. C'est ultra sympa, et en plus, ça m'a fait plaisir pour une raison toute bête : le retour d'une vieille tradition oubliée.
Merci, l'ami !
Commentaires
Zaïtchick, je...
Non, rien.