Bon, me voici rentré de Lyon, où j'ai participé à une très chouette table ronde avec Karine Gobled et Jacques Martel, suivi d'une interview d'Ellen Kushner (où j'ai fait un peu de traduction à la volée, très peu parce qu'elle parle très bien le français) et d'une conf de Mathieu Rivero.
Je ne crois pas avoir dit trop de conneries, l'ambiance était très agréable, j'ai passé une excellente soirée, merci encore aux organisateurs et à Jérôme Vincent, éditeur d'Actu-SF qui a animé le truc (et qui publie accessoirement A la pointe de l'épée, le roman de cape et d'épée de l'invitée d'honneur) (Je recommande, y a du Alatriste, là-dedans, des complots, de beaux combats, et un univers tout simple. C'est à peine de la fantasy, c'est encore un de ces hybrides entre roman historique et imaginaire pur que je goûte fort et dont j'ai déjà parlé ici).
Bon, ça aurait été parfait si je n'avais pas été réveillé alors que je venais tout juste de m'endormir par la scène de ménage d'un couple espagnol juste sous la fenêtre de ma chambre d'hôtel. On peut pas tout avoir.
Ça a été l'occasion de découvrir les hauteurs de la Croix Rousses, où je n'avais pas encore été trainé de la semelle, alors que je viens de plus en plus souvent à Lyon (depuis quelques années, c'est simple, j'y passe deux fois par an).
Accessoirement, c'est toujours intéressant ces discussions d'arrière cuisine entre auteurs, ça permet de voir qu'on galère pas sur les mêmes choses, et qu'on n'a pas forcément les mêmes façon de contourner ou de résoudre les écueils de l'écriture. Ça a quelque chose de rassurant pour un angoissé pathologique dans mon genre.
Je ne crois pas avoir dit trop de conneries, l'ambiance était très agréable, j'ai passé une excellente soirée, merci encore aux organisateurs et à Jérôme Vincent, éditeur d'Actu-SF qui a animé le truc (et qui publie accessoirement A la pointe de l'épée, le roman de cape et d'épée de l'invitée d'honneur) (Je recommande, y a du Alatriste, là-dedans, des complots, de beaux combats, et un univers tout simple. C'est à peine de la fantasy, c'est encore un de ces hybrides entre roman historique et imaginaire pur que je goûte fort et dont j'ai déjà parlé ici).
Bon, ça aurait été parfait si je n'avais pas été réveillé alors que je venais tout juste de m'endormir par la scène de ménage d'un couple espagnol juste sous la fenêtre de ma chambre d'hôtel. On peut pas tout avoir.
Ça a été l'occasion de découvrir les hauteurs de la Croix Rousses, où je n'avais pas encore été trainé de la semelle, alors que je viens de plus en plus souvent à Lyon (depuis quelques années, c'est simple, j'y passe deux fois par an).
Accessoirement, c'est toujours intéressant ces discussions d'arrière cuisine entre auteurs, ça permet de voir qu'on galère pas sur les mêmes choses, et qu'on n'a pas forcément les mêmes façon de contourner ou de résoudre les écueils de l'écriture. Ça a quelque chose de rassurant pour un angoissé pathologique dans mon genre.
Commentaires