Bon, je suis pas beaucoup actif sur ce blog, en ce moment. Essentiellement parce que je suis très actif ailleurs et que, du coup, y a des trucs qui passent à l'as.
Je fais une pause dans mes diverses fébrilités pour faire un petit point quand même.
Trois Coracles Cinglaient vers le Couchant est désormais entre les mains d'un pouvoir bien plus considérable que le mien : celui de l'imprimeur. Concrètement, ça veut dire que tout ce que je n'aurai pas corrigé sera désormais gravé dans le marbre. Et donc que j'entre dans une de ces phases anxieuses où je me demande pourquoi je m'inflige ça, putain. Et ces abîmes d'angoisse dureront jusqu'au 4 avril, date de sortie officielle du bouquin (ou un peu avant, vu qu'en général je reçois au moins un exemplaire de contrôle dans les semaines qui précèdent, voire un carton entier) (auquel je ne touche pas pendant quelques jours, d'ailleurs, pris d'une terreur superstitieuse : quand je me précipite, j'ouvre le bouquin et je tombe sur une coquille).
On est en train de mettre en place des séances de dédicaces pour ce bouquin, dont une le dimanche 12 mai au Grand Cercle d'Eragny (95), sans doute une un peu avant au Gibert Jeunes de Saint Mich', et une aux Imaginales d'Epinal fin mai. Si vous êtes libraire et que vous voulez organiser un truc, n'hésitez pas à m'envoyer un mot en commentaire, ou à contacter l'éditeur.
En attendant, samedi 23 février à 16h, je reçois Thierry Lemaire à la médiathèque Blaise Cendrars de Conflans, dans le cadre d'un cycle sur la BD. On discutera de ce qu'est la BD historique, comment on la fait, à quoi elle sert, et de la validité du théorème de Dumas. Viendez nombreux, ça risque fort d'être intéressant.
Voilà voilà voilà…
Et l'adaptation en BD de Corum est sortie chez Delcourt. J'en signe la traduction, et c'est un chouette album. Sans doute mineur dans la carrière de Mignola, mais à mon sens, c'est à ce moment-là qu'il commence à devenir l'auteur que l'on connaît et apprécie aujourd'hui.
Je fais une pause dans mes diverses fébrilités pour faire un petit point quand même.
Trois Coracles Cinglaient vers le Couchant est désormais entre les mains d'un pouvoir bien plus considérable que le mien : celui de l'imprimeur. Concrètement, ça veut dire que tout ce que je n'aurai pas corrigé sera désormais gravé dans le marbre. Et donc que j'entre dans une de ces phases anxieuses où je me demande pourquoi je m'inflige ça, putain. Et ces abîmes d'angoisse dureront jusqu'au 4 avril, date de sortie officielle du bouquin (ou un peu avant, vu qu'en général je reçois au moins un exemplaire de contrôle dans les semaines qui précèdent, voire un carton entier) (auquel je ne touche pas pendant quelques jours, d'ailleurs, pris d'une terreur superstitieuse : quand je me précipite, j'ouvre le bouquin et je tombe sur une coquille).
On est en train de mettre en place des séances de dédicaces pour ce bouquin, dont une le dimanche 12 mai au Grand Cercle d'Eragny (95), sans doute une un peu avant au Gibert Jeunes de Saint Mich', et une aux Imaginales d'Epinal fin mai. Si vous êtes libraire et que vous voulez organiser un truc, n'hésitez pas à m'envoyer un mot en commentaire, ou à contacter l'éditeur.
En attendant, samedi 23 février à 16h, je reçois Thierry Lemaire à la médiathèque Blaise Cendrars de Conflans, dans le cadre d'un cycle sur la BD. On discutera de ce qu'est la BD historique, comment on la fait, à quoi elle sert, et de la validité du théorème de Dumas. Viendez nombreux, ça risque fort d'être intéressant.
Voilà voilà voilà…
Et l'adaptation en BD de Corum est sortie chez Delcourt. J'en signe la traduction, et c'est un chouette album. Sans doute mineur dans la carrière de Mignola, mais à mon sens, c'est à ce moment-là qu'il commence à devenir l'auteur que l'on connaît et apprécie aujourd'hui.
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