Bon, comme tous les ans, me voilà bien entamé par mon séjour à Angoulème…
Dans le détail, ça a donné ça :
Vendredi :
Ça pique un peu au réveil. Debout à 6 heures, alors que j'ai bossé sur des trucs à finir et remanié des choses dans ma conf (grave erreur d'ailleurs, du coup je n'étais plus bien synchro sur mes images) (pas très grave, mais bon, ces modifs de dernière minute, ce n'est jamais une bonne idée, en fait, et en plus je le sais).
RER, métro puis TGV, en compagnie de l'ami Xavier Fournier, mon complice sur Batman le jeu, ce qui nous permet entre autres de parler boutique. Depuis les travaux, le TGV ne met plus que 2 heures et ça c'est chouette. Arrivé sur place, je monte rapido Bulle New York récupérer mon badge. Rapido ou presque : on croise tellement de gens en route, avec lesquels on prend cinq minutes pour prendre des nouvelles et parler, qu'il faut à chaque fois plus d'une heure pour faire le trajet.
Petit tour pour aller manger avec des copains et serrer quelques mains sous les bulles des grands éditeurs, et je remonte. On a reçu un carton d'albums HP Lovecraft, celui qui écrivait dans les ténèbres, et il y a de la demande pour de la dédicace. J'en signe tout l'après-midi. Puis conférence de presse chez un de mes éditeurs, apéro avec un autre, et restau.
Je rentre me coucher, et chez mon logeur, un des camarades s'est mis une mine incroyable. Il est en vrac et les conneries qu'il parvient à faire sont de l'ordre de l'apocalyptique. Quand la situation se tasse enfin, c'est dodo. Mais il est très tard. Lourd bilan : du verre cassé, des dignités évaporées, sans doute une flaque de vomi cachée quelque part, un ordinateur perdu et une batterie de cuisine qui se déchaîne. Le tout à une heure absolument indue.
Samedi :
Pas assez dormi. Et la journée va être longue. D'abord, je file au Musée pour me faire deux expos : Tezuka (monumental, avec un matériel fou, des planches incroyables du maître du Manga) et Venise, avec de très belles toiles et des dessins sympa, dont une encre de Griffo qui me scotche sur place. Tortueuse, magnifiquement composée, qui saisit parfaitement l'essence de la Venise que j'aime.
Ensuite, je pars à l'espace Polar SNCF pour y faire le traducteur simultané, quasi au pied levé. L'invité est Marcos Martin, et c'est super, même si l'exercice est nouveau et épuisant pour moi. Merci encore pour l'accueil top des membres de l'espace Polar, vous êtes super !
Ensuite, remonter à la bulle, et signer, signer, signer. à 16 heures on arrive au bout des Lovecraft. De toute façon, j'ai conférence à 17h30. Je vais me prendre un café, souffler un peu, je tiens à arriver un peu en avance… Sauf que je croise un pote qui s'est fait refouler. Une fois encore, on refuse du monde au Conservatoire faute de place dans les salles, et le Festival refuse les solutions qu'on lui propose… et j'apprends avec horreur qu'en fait, mon horaire était… à 17 heures ! J'y vais ventre à terre et je commence à 17h11. Et je parviens à faire ma conf sans encombres, hormis quelques lapsus et des imprécisions d'enchaînements dues à mes modifications de l'avant-veille.
Ensuite, retourner au stand, me faire signer quelques bricoles en chemin, puis apéro, restau, after, et dodo, dans une ambiance plus feutrée que la veille.
Dimanche :
Je loupe l'heure du réveil, du coup j'arrive 1/2 heure en retard à un rendez-vous… où l'autre larron n'est pas là, il ne s'est pas réveillé non plus. Je parviens quand même à gérer l'affaire : faire signer par Wendy Pini une vieillerie top collector que j'ai depuis 30 ans. Elle et son mari sont super agréables, d'une gentillesse formidable. Puis je remonte à mon stand, quelques signatures encore, puis un croque vite expédié avec un collègue, retour à Paris sans décoller de la voiture bar, et enfin… Dodo pour de bon, bordel !!!!!
Dans le détail, ça a donné ça :
Vendredi :
Ça pique un peu au réveil. Debout à 6 heures, alors que j'ai bossé sur des trucs à finir et remanié des choses dans ma conf (grave erreur d'ailleurs, du coup je n'étais plus bien synchro sur mes images) (pas très grave, mais bon, ces modifs de dernière minute, ce n'est jamais une bonne idée, en fait, et en plus je le sais).
RER, métro puis TGV, en compagnie de l'ami Xavier Fournier, mon complice sur Batman le jeu, ce qui nous permet entre autres de parler boutique. Depuis les travaux, le TGV ne met plus que 2 heures et ça c'est chouette. Arrivé sur place, je monte rapido Bulle New York récupérer mon badge. Rapido ou presque : on croise tellement de gens en route, avec lesquels on prend cinq minutes pour prendre des nouvelles et parler, qu'il faut à chaque fois plus d'une heure pour faire le trajet.
Petit tour pour aller manger avec des copains et serrer quelques mains sous les bulles des grands éditeurs, et je remonte. On a reçu un carton d'albums HP Lovecraft, celui qui écrivait dans les ténèbres, et il y a de la demande pour de la dédicace. J'en signe tout l'après-midi. Puis conférence de presse chez un de mes éditeurs, apéro avec un autre, et restau.
Je rentre me coucher, et chez mon logeur, un des camarades s'est mis une mine incroyable. Il est en vrac et les conneries qu'il parvient à faire sont de l'ordre de l'apocalyptique. Quand la situation se tasse enfin, c'est dodo. Mais il est très tard. Lourd bilan : du verre cassé, des dignités évaporées, sans doute une flaque de vomi cachée quelque part, un ordinateur perdu et une batterie de cuisine qui se déchaîne. Le tout à une heure absolument indue.
Samedi :
Pas assez dormi. Et la journée va être longue. D'abord, je file au Musée pour me faire deux expos : Tezuka (monumental, avec un matériel fou, des planches incroyables du maître du Manga) et Venise, avec de très belles toiles et des dessins sympa, dont une encre de Griffo qui me scotche sur place. Tortueuse, magnifiquement composée, qui saisit parfaitement l'essence de la Venise que j'aime.
Ensuite, je pars à l'espace Polar SNCF pour y faire le traducteur simultané, quasi au pied levé. L'invité est Marcos Martin, et c'est super, même si l'exercice est nouveau et épuisant pour moi. Merci encore pour l'accueil top des membres de l'espace Polar, vous êtes super !
Ensuite, remonter à la bulle, et signer, signer, signer. à 16 heures on arrive au bout des Lovecraft. De toute façon, j'ai conférence à 17h30. Je vais me prendre un café, souffler un peu, je tiens à arriver un peu en avance… Sauf que je croise un pote qui s'est fait refouler. Une fois encore, on refuse du monde au Conservatoire faute de place dans les salles, et le Festival refuse les solutions qu'on lui propose… et j'apprends avec horreur qu'en fait, mon horaire était… à 17 heures ! J'y vais ventre à terre et je commence à 17h11. Et je parviens à faire ma conf sans encombres, hormis quelques lapsus et des imprécisions d'enchaînements dues à mes modifications de l'avant-veille.
Ensuite, retourner au stand, me faire signer quelques bricoles en chemin, puis apéro, restau, after, et dodo, dans une ambiance plus feutrée que la veille.
Dimanche :
Je loupe l'heure du réveil, du coup j'arrive 1/2 heure en retard à un rendez-vous… où l'autre larron n'est pas là, il ne s'est pas réveillé non plus. Je parviens quand même à gérer l'affaire : faire signer par Wendy Pini une vieillerie top collector que j'ai depuis 30 ans. Elle et son mari sont super agréables, d'une gentillesse formidable. Puis je remonte à mon stand, quelques signatures encore, puis un croque vite expédié avec un collègue, retour à Paris sans décoller de la voiture bar, et enfin… Dodo pour de bon, bordel !!!!!
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