Vous le savez, je reste complètement fasciné par ce concept de "fête du travail" qui n'a, dès qu'on le regarde de près, à peu près aucun sens. Quand le travail est une fête, alors il perd mécaniquement une partie de son côté "travail". Sinon, les gens n'iraient pas faire la fête à Répu pour combattre la loi travail, pas vrai ? Et ils ne se feraient accessoirement pas taper dessus par des gens dont c'est paraît-il le travail. Bref, le travail, c'est une saloperie, n'y touchez pas.
Tiens, ça fait une paye que j'avais pas balancé une nouvelle inédite... Voilà un truc que j'ai écrit y a 6 mois de ça, suite à une espèce de cauchemar fiévreux. J'en ai conservé certaines ambiances, j'en ai bouché les trous, j'ai lié la sauce. Et donc, la voilà... (et à ce propos, dites-moi si ça vous dirait que je fasse des mini-éditions de certains de ces textes, je me tâte là-dessus) Elle m’est tombée dessus dans un couloir sombre de la maison abandonnée. Il s’agissait d’une vieille villa de maître, au milieu d’un parc retourné à l’état sauvage, jouxtant le canal. Nul n’y avait plus vécu depuis des décennies et elle m’avait tapé dans l’œil un jour que je promenais après le travail, un chantier que j’avais accepté pour le vieil épicier du coin. J’en avais pour quelques semaines et j’en avais profité pour visiter les alentours. Après avoir regardé autour de moi si personne ne m'observait, je m’étais glissé dans une section effondrée du mur d’enceinte, j’...
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