En allant faire mes courses, j'ai découvert un rayon spécial pour les soirées de matches de Coupe du Monde, avec de gros panneaux représentant des ballons. C'était un rayon où s'entassaient bouteilles de coca, canettes de bière par packs de 24, danettes et chips. Ça avait un côté terrifiant, quelque part : une grande chaîne d'hypermarchés avait analysé le comportement alimentaire des consommateurs de football et avait préparé une offre en conséquence.
Ça m'est un peu étranger, le plateau de junk food les soirs de matches. Faut dire que des matches de foot à la télé, j'ai peut-être dû en regarder deux dans ma vie. Et c'était il y a plusieurs décennies. J'ai donc du mal à ressentir l'attrait vénéneux de la combinaison chips/coca/foot. D'une certaine façon, je suppose que c'est cohérent avec les goûts sexuels des footballeurs eux-mêmes, tels qu'ils avaient été révélés par une récente affaire. De l'artificiel frelaté qu'on paye plus tard au prix fort.
Du coup, c'est sans aucune vergogne que j'ai été assouvir mes propres vices en me lançant dans une razzia bestiale sur le rayon fromage. Y a pas de raison. Surtout que Roland-Garros est même pas encore fini, je crois. On enchaîne direct sur le foot, et après ce sera le Tour de France. Il me semble que je peux d'ores et déjà arrêter de mettre la radio le matin pour avoir les infos, je sens que ça va m'énerver.
Bon, sinon, je rappelle à tout hasard que je suis demain, samedi, en dédicace à partir de 15h30 à la librairie Labyrinthe, rue de la Salle à St Germain en Laye-Laye-Laye*.
*Bourgade ainsi nommée en hommage à Enrico Macias.
Ça m'est un peu étranger, le plateau de junk food les soirs de matches. Faut dire que des matches de foot à la télé, j'ai peut-être dû en regarder deux dans ma vie. Et c'était il y a plusieurs décennies. J'ai donc du mal à ressentir l'attrait vénéneux de la combinaison chips/coca/foot. D'une certaine façon, je suppose que c'est cohérent avec les goûts sexuels des footballeurs eux-mêmes, tels qu'ils avaient été révélés par une récente affaire. De l'artificiel frelaté qu'on paye plus tard au prix fort.
Du coup, c'est sans aucune vergogne que j'ai été assouvir mes propres vices en me lançant dans une razzia bestiale sur le rayon fromage. Y a pas de raison. Surtout que Roland-Garros est même pas encore fini, je crois. On enchaîne direct sur le foot, et après ce sera le Tour de France. Il me semble que je peux d'ores et déjà arrêter de mettre la radio le matin pour avoir les infos, je sens que ça va m'énerver.
Bon, sinon, je rappelle à tout hasard que je suis demain, samedi, en dédicace à partir de 15h30 à la librairie Labyrinthe, rue de la Salle à St Germain en Laye-Laye-Laye*.
*Bourgade ainsi nommée en hommage à Enrico Macias.
Commentaires
ça devient du grand n'importe quoi ce blog (patate plus du Macias !)
j'ai pas osé leur signaler que c"était par le traducteur de Walking Dead...