Ah, mince, déjà 2020 ?
Vingt ans que je traine mes bottes dans un monde aux dates qui me semblent de la science-fiction. Bien évidemment, à la place, on n'a que de la dystopie et du post-apo, saupoudrés d'un peu de cyberpunk. Zuckerberg et Bezos semblent sortis d'un bouquin de William Gibson ou de John Brunner, Trump d'un vieux comic book, et Macron m'évoque les présidents en plastoc du Simulacres de Philip K. Dick (mais pas celui de L'Oiseau d'Amérique, de Walter Tevis, parce que là, le Président robotique a une conscience).
Toujours pas de voitures volantes, bien sûr, mais c'est pas plus mal, vu que les automobilistes savent toujours pas conduire en 2D, ajouter la verticale dans leur terrain de jeu serait sérieusement chercher la merde. J'ose même pas imaginer les sorties de boite le samedi soir, avec des engins à la Blade Runner.
Par contre, les images d'Australie semblent parfois tirées de Blade Runner 2049. Ça, ça craint vraiment. Betelgeuse est une étoile de Schrödinger qui peut exploser à n'importe quel moment entre maintenant et dans 100.000 ans. J'ai pas réussi à savoir si on sera potentiellement dans l'axe de l'inévitable sursaut gamma qui projettera des particules mortelles à des milliers d'années lumières.
J'ai l'air de sale poil ? Non, ça va, un peu fatigué seulement. 2020 commence au même rythme de boulot de dingue qui fut le mien tout 2019, voilà tout. Ça commence à tirer sur la queue du Mickey.
Mais je reste optimiste. J'ai ressorti mon vieux bracelet maya anti-fin du monde, celui qui m'avait si bien sauvé en 2012. On ne sait jamais.
Mais bonne année quand même à tous, hein ?
Vingt ans que je traine mes bottes dans un monde aux dates qui me semblent de la science-fiction. Bien évidemment, à la place, on n'a que de la dystopie et du post-apo, saupoudrés d'un peu de cyberpunk. Zuckerberg et Bezos semblent sortis d'un bouquin de William Gibson ou de John Brunner, Trump d'un vieux comic book, et Macron m'évoque les présidents en plastoc du Simulacres de Philip K. Dick (mais pas celui de L'Oiseau d'Amérique, de Walter Tevis, parce que là, le Président robotique a une conscience).
Toujours pas de voitures volantes, bien sûr, mais c'est pas plus mal, vu que les automobilistes savent toujours pas conduire en 2D, ajouter la verticale dans leur terrain de jeu serait sérieusement chercher la merde. J'ose même pas imaginer les sorties de boite le samedi soir, avec des engins à la Blade Runner.
Par contre, les images d'Australie semblent parfois tirées de Blade Runner 2049. Ça, ça craint vraiment. Betelgeuse est une étoile de Schrödinger qui peut exploser à n'importe quel moment entre maintenant et dans 100.000 ans. J'ai pas réussi à savoir si on sera potentiellement dans l'axe de l'inévitable sursaut gamma qui projettera des particules mortelles à des milliers d'années lumières.
J'ai l'air de sale poil ? Non, ça va, un peu fatigué seulement. 2020 commence au même rythme de boulot de dingue qui fut le mien tout 2019, voilà tout. Ça commence à tirer sur la queue du Mickey.
Mais je reste optimiste. J'ai ressorti mon vieux bracelet maya anti-fin du monde, celui qui m'avait si bien sauvé en 2012. On ne sait jamais.
Mais bonne année quand même à tous, hein ?
"Je suis un être prudent et organisé"
Commentaires
Bonne année à vous, les gars...
Purée, Uriel, ça fait un bail !