Bon, pas eu le temps de vous faire le compte rendu de Nancy et du colloque Lovecraft, mais c'était hyper bien. Merci encore aux organisateurs. Un seul regret : Nicollet et Druillet n'ont pu être des nôtres. Mais les interventions et tables rondes étaient passionnantes (notamment les discussions sur la traduction, dont vous vous doutez bien qu'elles m'intéressent au premier chef) et j'ai fait des rencontres formidables.
Bon, si je n'ai guère de temps, c'est aussi que pour diverses raisons, j'ai été amené à accepter un boulot à l'extérieur, un remplacement comme prof, et que mine de rien, c'est un métier épuisant et chronophage. Quand j'y repense, ça fait d'ailleurs un sacré bail que je n'avais pas travaillé réellement à l'extérieur autrement que sur des interventions ultra-ponctuelles. J'ai plus l'habitude.
Et bien entendu, j'ai quand même tout mon boulot normal que je dois abattre, sinon ce ne serait pas drôle. Des traductions, des confs à préparer, un roman en cours, un autre à relire, et un scénar de BD sur lequel avancer (un extrait ci-dessous, que vous puissiez voire de quoi il s'agit), ainsi qu'un genre de guide à écrire. Déjà, en temps normal, ce serait intense. Là, ça devient juste délirant. Du coup, les festivals et salons, quoique fatigants aussi, sont comme des vacances.
Ce week-end, je prends donc deux jours de repos :
- ce samedi, je suis à Sèvres au Rencontres de l'Imaginaire
- dimanche, je suis à BD Boom, à Blois, avec la joyeuse bande de 21g.
C'est tout pour aujourd'hui !
Bon, si je n'ai guère de temps, c'est aussi que pour diverses raisons, j'ai été amené à accepter un boulot à l'extérieur, un remplacement comme prof, et que mine de rien, c'est un métier épuisant et chronophage. Quand j'y repense, ça fait d'ailleurs un sacré bail que je n'avais pas travaillé réellement à l'extérieur autrement que sur des interventions ultra-ponctuelles. J'ai plus l'habitude.
Et bien entendu, j'ai quand même tout mon boulot normal que je dois abattre, sinon ce ne serait pas drôle. Des traductions, des confs à préparer, un roman en cours, un autre à relire, et un scénar de BD sur lequel avancer (un extrait ci-dessous, que vous puissiez voire de quoi il s'agit), ainsi qu'un genre de guide à écrire. Déjà, en temps normal, ce serait intense. Là, ça devient juste délirant. Du coup, les festivals et salons, quoique fatigants aussi, sont comme des vacances.
Ce week-end, je prends donc deux jours de repos :
- ce samedi, je suis à Sèvres au Rencontres de l'Imaginaire
- dimanche, je suis à BD Boom, à Blois, avec la joyeuse bande de 21g.
C'est tout pour aujourd'hui !
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