J'étais sur Paris pour traiter des paperasses chez un de mes éditeurs. En ressortant, je me suis aperçu que je n'avais pas mangé. Comme j'allais prendre mon train Gare Saint Lazare, je me suis dit "tiens, puisque tout le monde parle du nouveau Burger King qui a ouvert le mois dernier, je vais y prendre un truc, je verrai si c'est si bon qu'on dit".
Alors techniquement, du temps d'avant la fermeture des anciens Burger King, j'avais déjà mangé des Whooper, et de fait, oui, c'était pas mal, mais ce lointain souvenir n'évoque pas non plus un orgasme gustatif. C'était pas mal, point. Mais je me disais que c'était l'occasion de retester. En vingt ans, le goût s'affine et évolue. ("le goût s'affine". Putain, on parle de burgers, là, quand même, pas de caviar. enfin bref, c'est le raisonnement que j'ai tenu en arrivant à la gare).
Et donc, ayant un peu de temps devant moi avant mon train, je sors du métro, et je monte jusqu'au Burger King. Alors, je savais qu'à l'ouverture, le mois dernier, ça avait été la ruée. Les journaux en avaient parlé et tout. Mais c'était le mois dernier. Moi, arrivant hors des heures des repas, vers quinze heures, je pensais avoir trois pelés et deux tondus devant moi, et le temps de me prendre un truc à emporter.
Et en sortant de l'escalator, je suis tombé sur trente mètres de queue, traversant toute la salle des pas perdus, et les mecs avaient été obligé d'installer des barrières, Mickeyland style. Trente putains de mètres de queue. Trente putains de bordel de mètres de queue. Trente putains de bordel à queue de mètres de queue.
Là, on n'est plus dans l'effervescence qui suit l'ouverture du truc. Ça fait plus de trois semaines, presque un mois révolu. Trente pu... Enfin bref, vous voyez ce que je veux dire.
Je suis allé me prendre un paquet de chips au distributeur, et mon train dans la foulée. En me disant que, quand même, les gens sont grave dingues.
C'est vrai, quoi. Tant qu'à ressusciter des trucs, rendez-nous le Pastador, merde !
Alors techniquement, du temps d'avant la fermeture des anciens Burger King, j'avais déjà mangé des Whooper, et de fait, oui, c'était pas mal, mais ce lointain souvenir n'évoque pas non plus un orgasme gustatif. C'était pas mal, point. Mais je me disais que c'était l'occasion de retester. En vingt ans, le goût s'affine et évolue. ("le goût s'affine". Putain, on parle de burgers, là, quand même, pas de caviar. enfin bref, c'est le raisonnement que j'ai tenu en arrivant à la gare).
Et donc, ayant un peu de temps devant moi avant mon train, je sors du métro, et je monte jusqu'au Burger King. Alors, je savais qu'à l'ouverture, le mois dernier, ça avait été la ruée. Les journaux en avaient parlé et tout. Mais c'était le mois dernier. Moi, arrivant hors des heures des repas, vers quinze heures, je pensais avoir trois pelés et deux tondus devant moi, et le temps de me prendre un truc à emporter.
Et en sortant de l'escalator, je suis tombé sur trente mètres de queue, traversant toute la salle des pas perdus, et les mecs avaient été obligé d'installer des barrières, Mickeyland style. Trente putains de mètres de queue. Trente putains de bordel de mètres de queue. Trente putains de bordel à queue de mètres de queue.
Là, on n'est plus dans l'effervescence qui suit l'ouverture du truc. Ça fait plus de trois semaines, presque un mois révolu. Trente pu... Enfin bref, vous voyez ce que je veux dire.
Je suis allé me prendre un paquet de chips au distributeur, et mon train dans la foulée. En me disant que, quand même, les gens sont grave dingues.
C'est vrai, quoi. Tant qu'à ressusciter des trucs, rendez-nous le Pastador, merde !
Commentaires
Même le film qui en parle a disparu !
Je...
Je.
...
OBEY.
Avec un sprite zero cuvee 2013 it's a blast!
Ca fait une éternité que j'ai pas bâffré de burger...
O.
Pastador is bask : http://www.pastador.eu/
ça vient de faire un truc à mon slip.
CHAMPAGNE !!!!!!!!!!!
Pour le pastador, je suis régulièrement à Arras, je vais organiser des go-fast sur le chemin du retour.