Dans mon rêve de cette nuit, j'étais dans un avions de tourisme et on avait des problèmes pour atterrir. Le pilote était descendu en marche pour des raisons non précisées, et il ne restait plus que moi et Anthony Hopkins dans l'habitacle. Il m'a dit de ne pas m'inquiéter, de me mater un film pendant qu'il gérerait la situation. J'ai regardé par le hublot, et la minuscule piste d'atterrissage était coincé entre deux voies ferrées et une autoroute, avec des caténaires et des lignes à haute tension dans tous les sens.
Hopkins fit un passage, puis un autre, sans arriver même à approcher la piste (alors que les lignes à 10.000 volts, il les rasait de près). J'ai hésité à descendre en marche comme le pilote, et puis finalement j'ai décidé de mettre le film sur le petit écran, derrière le siège de Hopkins. Sur l'écran, BHL était en train de faire du kung-fu, déguisé en gladiateur d'opérette, avec une jupette en lanières argentées assez moche. Il éclatait des figurants dans une boite de nuit branchée, ça ressemblait à une rediff d'un Paris Dernière ou d'une émission dans le genre. Puis il s'est tourné vers l'écran et a dit que c'est comme ça qu'on battrait le méchant Kadhafi, et qu'il fallait tous traverser la mer pour aller lui casser la gueule. J'ai coupé la télé et je me suis remis au hublot, c'était moins atterrant.
Hopkins m'a dit qu'il avait confiance, que dans les films, c'est le mec qui a les couilles de tenter l'impossible qui y arrivait. J'ai été tenté de lui répondre qu'on n'était pas dans un film et qu'il ferait mieux de regarder devant lui. Mais son regard était encore plus paniqué que le mien, alors j'ai juste éructé un "ouais, z'avez bien raison…"
N'arrivant pas à atteindre la piste, l'avion tentait de se poser sur l'autoroute, en slalomant entre les pylones, les panneaux et les camions. N'y tenant plus, j'ai sauté sur le bas côté, j'ai trouvé un arrêt de bus et j'ai attendu, en regardant l'avion tournoyer, tenter un atterrissage sur le toit d'un entrepôt, puis d'un semi-remorque.
Puis le bus est arrivé, j'ai pris un ticket, et je me suis réveillé.
Hopkins fit un passage, puis un autre, sans arriver même à approcher la piste (alors que les lignes à 10.000 volts, il les rasait de près). J'ai hésité à descendre en marche comme le pilote, et puis finalement j'ai décidé de mettre le film sur le petit écran, derrière le siège de Hopkins. Sur l'écran, BHL était en train de faire du kung-fu, déguisé en gladiateur d'opérette, avec une jupette en lanières argentées assez moche. Il éclatait des figurants dans une boite de nuit branchée, ça ressemblait à une rediff d'un Paris Dernière ou d'une émission dans le genre. Puis il s'est tourné vers l'écran et a dit que c'est comme ça qu'on battrait le méchant Kadhafi, et qu'il fallait tous traverser la mer pour aller lui casser la gueule. J'ai coupé la télé et je me suis remis au hublot, c'était moins atterrant.
Hopkins m'a dit qu'il avait confiance, que dans les films, c'est le mec qui a les couilles de tenter l'impossible qui y arrivait. J'ai été tenté de lui répondre qu'on n'était pas dans un film et qu'il ferait mieux de regarder devant lui. Mais son regard était encore plus paniqué que le mien, alors j'ai juste éructé un "ouais, z'avez bien raison…"
N'arrivant pas à atteindre la piste, l'avion tentait de se poser sur l'autoroute, en slalomant entre les pylones, les panneaux et les camions. N'y tenant plus, j'ai sauté sur le bas côté, j'ai trouvé un arrêt de bus et j'ai attendu, en regardant l'avion tournoyer, tenter un atterrissage sur le toit d'un entrepôt, puis d'un semi-remorque.
Puis le bus est arrivé, j'ai pris un ticket, et je me suis réveillé.
Commentaires
T'as essayé le hutspot ?
O.
1kg de patates, 500 gr de carottes, 250 gr d'oignons. Tu fais cuire ensemble à la vapeur, tu écrases et tu sers avec une bonne saucisse fumée genre morteau. Et de la moutarde.
Je pense que c'est le pendant néérlandais de la fondue au cheddar.
O.