Je pensais pouvoir souffler un peu en septembre, lever le pied après quelques gros morceaux de boulot. Bien entendu, à l'arrivée, et pour employer un terme technique, c'est un peu mes couilles sur la commode. Non, pas lui. En fait, entre les gros boulots finis mais qui m'ont pris un peu plus de temps que prévu, les gros boulots pas encore finis que je croyais que là ce serait bon, et les trucs que je viens d'accepter parce que je ne pouvais pas décemment les refuser (je préfère encore laisser mes couilles sur la commode que de me les mordre toute ma vie de pas avoir dit oui à des projets ultra chouettes), je crois que je suis reparti comme ça jusqu'en avril prochain. Ou en mars, dans le meilleur des cas. Bon, ça c'est sous réserve qu'on voie 2021. Vu la gueule de 2020, je suis pas encore sûr qu'on passe l'hiver, collectivement. Genre là, on prévoit des interventions, je fais "pas cette semaine là, y a Angoulème", et le lendemain, Angoulème...
Des lunettes pour voir l'invisible en relief !