Ah, encore un rêve où je passe un temps infernal dans les transports.
Là, je devais me trimballer un vélo dans le métro. Ce qui n'a guère de sens, puisque si j'ai un vélo, c'est pour m'en servir, je ne vois pas trop de configurations où je descendrais dans le métro avec une bicyclette sous le bras. Bref.
Et donc, je me transbahutait dans des stations tentaculaires, aux escalators planqués dans des recoins, aux ascenseurs exigus, aux escaliers et aux couloirs interminables, trainant toujours la petite reine.
Enfin, je parviens à monter dans une rame, tout à l'avant. C'est une de ces rames automatiques, sans chauffeur, qui permettent de voir devant défiler les rails et les tunnels. Le métro démarre, s'enfonce dans le tunnel, puis émerge à l'air libre. Et là, surprise : pour étendre la ligne sans creuser de nouveau tunnel, les rails passent sur la Seine. Ils sont à demi immergés, soutenus Dieu sait comment, et le métro roule dessus. Je me souviens distinctement m'être demandé d'où venait le courant, du coup, vu que ça ne pouvait pas être des rails eux-mêmes.
On a longé le quai, une espèce de mix entre le quartier de Bercy et
une zone industrielle (Paris a une géographie très précise et totalement
récurrente, dans mes rêves, mais elle est complètement bizarroïde) puis
on s'est à nouveau engouffrés dans un tunnel.
Une petite gamine marrante m'a demandé pourquoi je me trimballais un vélo. Je lui ai expliqué. J'ai oublié cette explication, mais je me souviens qu'elle était alambiquée, et je crois qu'elle n'avait guère de sens. La petite m'écoutait avec une grande attention, mais n'avait pas l'air convaincu.
Puis je suis arrivé à destination, dans le quartier médiéval (cherchez pas, il est pas sur les cartes à l'état de veille) je suis remonté par des escaliers en calcaire taillé et érodé par des siècles de passage des usagers, et j'ai émergé à l'air libre. Dans la rue, je continuais à me trimballer le vélo sous le bras, je ne me souviens même plus de quelle était ma destination.
Ça a dû finir par me gonfler, parce que je me suis réveillé.
Là, je devais me trimballer un vélo dans le métro. Ce qui n'a guère de sens, puisque si j'ai un vélo, c'est pour m'en servir, je ne vois pas trop de configurations où je descendrais dans le métro avec une bicyclette sous le bras. Bref.
Et donc, je me transbahutait dans des stations tentaculaires, aux escalators planqués dans des recoins, aux ascenseurs exigus, aux escaliers et aux couloirs interminables, trainant toujours la petite reine.
Enfin, je parviens à monter dans une rame, tout à l'avant. C'est une de ces rames automatiques, sans chauffeur, qui permettent de voir devant défiler les rails et les tunnels. Le métro démarre, s'enfonce dans le tunnel, puis émerge à l'air libre. Et là, surprise : pour étendre la ligne sans creuser de nouveau tunnel, les rails passent sur la Seine. Ils sont à demi immergés, soutenus Dieu sait comment, et le métro roule dessus. Je me souviens distinctement m'être demandé d'où venait le courant, du coup, vu que ça ne pouvait pas être des rails eux-mêmes.
Du coup ça ressemblait un peu à ça,
sauf que je voyais les rails immergés
Une petite gamine marrante m'a demandé pourquoi je me trimballais un vélo. Je lui ai expliqué. J'ai oublié cette explication, mais je me souviens qu'elle était alambiquée, et je crois qu'elle n'avait guère de sens. La petite m'écoutait avec une grande attention, mais n'avait pas l'air convaincu.
Puis je suis arrivé à destination, dans le quartier médiéval (cherchez pas, il est pas sur les cartes à l'état de veille) je suis remonté par des escaliers en calcaire taillé et érodé par des siècles de passage des usagers, et j'ai émergé à l'air libre. Dans la rue, je continuais à me trimballer le vélo sous le bras, je ne me souviens même plus de quelle était ma destination.
Ça a dû finir par me gonfler, parce que je me suis réveillé.
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