Vous l'aurez remarqué, j'ai un poil négligé ces colonnes ces deux dernières semaines. J'avais à cela une excellente excuse : dans une poussée d'hédonisme décadent, je m'étais pris quinze jours de vacances (c'était d'ailleurs tellement des vacances que j'ai écrit trois chapitres d'un roman, un article, revu la maquette de Cosmonautes ! que m'envoyait l'éditeur parce que bon, ça sort le 4 septembre et c'est dans pas longtemps, mais j'ai aussi bossé sur deux scénars de BD , dressé le plan de deux conférences dont celle d'Angoulème l'hiver prochain, et traduit le dernier épisode de Kick-Ass) (des vacances tranquilles, quoi).
Ces plages de farniente (sérieux, ça donne l'impression que j'ai bossé comme un damné, la parenthèse ci-dessus, mais justement non, c'est ça le plus drôle, c'était tranquille) m'ont permis de bouquiner, de regarder la télé (y avait une semaine des films de requins tout pourris sur Sy-Fy, j'allais pas manquer ça) (et puis j'ai pu voir le film tiré de Cluedo, un truc démentiel avec Tim Curry et Chris Lloyd, ainsi que le film moins mauvais que ce qu'on a bien pu en dire tiré du Guide du Routard Galactique*, avec notre Watson the Hobbit préféré dans le rôle d'Arthur Accroc, et puis j'ai vu le spectacle d'Alexandre Astier sur Bach, Que ma joie demeure, et c'est balaise, je recommande). J'ai traîné dans des brocantes où j'ai fait le plein de vieux bouquins (dont un manuel d'astronomie d'époque, signé Arago, qui me servira bien pour les prochaines livraison du journal du Château des Etoiles)(j'ai bien trop mis à contribution ce pauvre Camille Flammarion qui n'en demandait pas tant).
Et surtout, au mépris des injonctions de mon toubib, je me suis empiffré de charcuterie locale, de crêpes, de trucs cools, quoi. Et j'ai trouvé le temps de faire un peu de vélo, de dessiner des trèfles et des chiens dans le jardin, de picoler un peu, de dormir, tous ces trucs que je ne fais pas assez le reste de l'année.
Bref, me voilà regonflé à bloc.
* Oui, c'est comme pour les barres chocolatées Raider, Mon Petit Poney, Serval ou Antenne 2, je suis intégriste des anciennes dénominations, et d'autant plus que sur les bouquins de Douglas Adams, le titre a été changé suite à un procès, et que je lève très haut mon doigt aux avocats qui ont besoin de se lancer dans ce genre d'attaques sur des romans pour justifier leurs émoluments. Messieurs, la basse-cour, et tout ce qui s'ensuit.
Ces plages de farniente (sérieux, ça donne l'impression que j'ai bossé comme un damné, la parenthèse ci-dessus, mais justement non, c'est ça le plus drôle, c'était tranquille) m'ont permis de bouquiner, de regarder la télé (y avait une semaine des films de requins tout pourris sur Sy-Fy, j'allais pas manquer ça) (et puis j'ai pu voir le film tiré de Cluedo, un truc démentiel avec Tim Curry et Chris Lloyd, ainsi que le film moins mauvais que ce qu'on a bien pu en dire tiré du Guide du Routard Galactique*, avec notre Watson the Hobbit préféré dans le rôle d'Arthur Accroc, et puis j'ai vu le spectacle d'Alexandre Astier sur Bach, Que ma joie demeure, et c'est balaise, je recommande). J'ai traîné dans des brocantes où j'ai fait le plein de vieux bouquins (dont un manuel d'astronomie d'époque, signé Arago, qui me servira bien pour les prochaines livraison du journal du Château des Etoiles)(j'ai bien trop mis à contribution ce pauvre Camille Flammarion qui n'en demandait pas tant).
Et surtout, au mépris des injonctions de mon toubib, je me suis empiffré de charcuterie locale, de crêpes, de trucs cools, quoi. Et j'ai trouvé le temps de faire un peu de vélo, de dessiner des trèfles et des chiens dans le jardin, de picoler un peu, de dormir, tous ces trucs que je ne fais pas assez le reste de l'année.
Bref, me voilà regonflé à bloc.
* Oui, c'est comme pour les barres chocolatées Raider, Mon Petit Poney, Serval ou Antenne 2, je suis intégriste des anciennes dénominations, et d'autant plus que sur les bouquins de Douglas Adams, le titre a été changé suite à un procès, et que je lève très haut mon doigt aux avocats qui ont besoin de se lancer dans ce genre d'attaques sur des romans pour justifier leurs émoluments. Messieurs, la basse-cour, et tout ce qui s'ensuit.
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