Il y a des matins, comme ça, où l'on se réveille, on met le café en route, et en le buvant, on commence le boulot de la journée tranquillement, histoire de se roder, de ce mettre en route en douceur. Surtout quand le boulot, c'est la traduction de vieux épisodes de Spawn . Voilà une série sur laquelle je suis quand même un peu au point, depuis le temps. Si j'étais du genre à fêter ce genre de choses, j'aurais pu fêter dernièrement mon deux-centième épisode de Spawn traduit. Il n'y a guère que sur Batman et ses dépendances que j'en ai fait plus. Même en Star Wars , je dois être nettement en dessous, à 170 ou 180 fascicules transposés en langue de Molière. Bref, cela s'annonçait comme une matinée de routine, tranquille, avec moitié du Spawn , et l'autre moitié, mettons, consacrée à boucler le premier épisode de ma rubrique dans la revue Fiction (normalement, ça s'appellera "les mains dans le cambouis, la tête dans les étoiles"). Et p...