Il y a des moments comme ça où le bazar d'un monde extérieur en voie de nazification rapide conduit à se bunkeriser un peu et à se réfugier dans le travail. Le travail, c'est par exemple la phase de relecture intensive d 'Eschatôn Diakonoï , mon premier roman qui sortira en juin prochain chez les Moutons électriques. Et par les temps qui courent, comme il y est fortement question de fanatisme religieux (et d'instrumentalisation de celui-ci), faut en fait que j'avance à petite dose. Du coup, je me remets à la traduction. Et en fait, c'est pire. Dans un album traduit au moment des attentats, il est question d'un… D'un attentat. Dans une crèche. De quoi bien foutre le bourdon. Pas grave, passons à un autre truc, un autre bouquin, ça me changera les idées. Là, il a une scène de funérailles. Où ça pleure beaucoup et où ça s'engueule en cherchant des responsables. Bien, bien, bien... Bon, y en avait qu'un épisode, de celui-ci. Qu'est-ce qui res...
Des lunettes pour voir l'invisible en relief !