Un peu dur, le boulot, en ce moment :
Je boucle la traduction de Knightfall tome 5 (340 et quelques pages), j'enchaine sur celle d'une intégrale Spawn (260 pages) et globalement, en termes de traductions, je ne chômerai pas ensuite.
Mais dans le même temps, j'ai un script à boucler pour un album à sortir l'an prochain chez Glénat, script très complexe à réaliser pour des raisons de format et de documentation (c'est une biographie illustrée, et l'exercice est toujours délicat). Et je suis déjà en retard là-dessus.
En retard, je ne le suis pas encore sur Cosmonautes, les conquérants de l'espace mon prochain bouquin à sortir dans la Bibliothèque des Miroirs, chez les Moutons électriques. Là aussi, la quantité de doc à compulser est hallucinante (d'autant qu'il s'agit aussi de voir, de revoir et d'analyser des films, de relire des bouquins, des BDs et des Mangas, de retrouver des paroles de chansons, etc.). Ça sort normalement en septembre prochain. Ça a l'air loin, mais sur un boulot pareil, ce n'est pas si évident. Ce sera un bouquin transversal à la façon d'Apocalypses*, donc ça implique de bien faire mes devoirs.
D'autant que, toujours pour les Moutons, j'ai accepté de tenir une rubrique régulière dans la revue Fiction. Je vous en reparlerai bientôt, mais là encore, ça implique des recherches et des vérifications dans tous les sens, même pour des papiers de 12 ou 15.000 signes.
Pfou. Et avec tout ça, il faut aussi prendre du temps pour manger, dormir, avoir une vie de famille et même, des fois, des loisirs.
*On ne peut pas être exhaustif, dans ce genre d'exercice, mais on a toujours peur de louper une référence majeure. Et de fait, dans Apocalypses, je n'ai pas cité une seule fois Ballard (on me l'a d'ailleurs reproché). Il faut dire que c'est un auteur que j'ai assez peu lu, et qui me parle assez peu, contrairement par exemple à John Brunner. Mais ce n'est pas une raison.
Je boucle la traduction de Knightfall tome 5 (340 et quelques pages), j'enchaine sur celle d'une intégrale Spawn (260 pages) et globalement, en termes de traductions, je ne chômerai pas ensuite.
Mais dans le même temps, j'ai un script à boucler pour un album à sortir l'an prochain chez Glénat, script très complexe à réaliser pour des raisons de format et de documentation (c'est une biographie illustrée, et l'exercice est toujours délicat). Et je suis déjà en retard là-dessus.
En retard, je ne le suis pas encore sur Cosmonautes, les conquérants de l'espace mon prochain bouquin à sortir dans la Bibliothèque des Miroirs, chez les Moutons électriques. Là aussi, la quantité de doc à compulser est hallucinante (d'autant qu'il s'agit aussi de voir, de revoir et d'analyser des films, de relire des bouquins, des BDs et des Mangas, de retrouver des paroles de chansons, etc.). Ça sort normalement en septembre prochain. Ça a l'air loin, mais sur un boulot pareil, ce n'est pas si évident. Ce sera un bouquin transversal à la façon d'Apocalypses*, donc ça implique de bien faire mes devoirs.
Non, ce n'est pas la couve. Mais un truc dans l'esprit ne me déplairait pas.
D'autant que, toujours pour les Moutons, j'ai accepté de tenir une rubrique régulière dans la revue Fiction. Je vous en reparlerai bientôt, mais là encore, ça implique des recherches et des vérifications dans tous les sens, même pour des papiers de 12 ou 15.000 signes.
Pfou. Et avec tout ça, il faut aussi prendre du temps pour manger, dormir, avoir une vie de famille et même, des fois, des loisirs.
*On ne peut pas être exhaustif, dans ce genre d'exercice, mais on a toujours peur de louper une référence majeure. Et de fait, dans Apocalypses, je n'ai pas cité une seule fois Ballard (on me l'a d'ailleurs reproché). Il faut dire que c'est un auteur que j'ai assez peu lu, et qui me parle assez peu, contrairement par exemple à John Brunner. Mais ce n'est pas une raison.
Commentaires
J'en reparlerai d'ici décembre, quand on aura précisé la date de sortie.