Ma faiblesse me consterne et m'agace, parfois. Tenez, pas plus tard que ce soir, j'étais à déambuler dans une gare, en attendant que mon train s'affiche enfin. Et forcément, mes pas m'ont conduit chez un marchand de journaux (j'étais arrivé trop tard pour piller la petite boutique qui fait des fudge de tuerie, dont sinon j'aurais bouloté un ou deux paquets entre le quai et le trajet, au mépris de la bienséance et de ma glycémie). Et donc, après avoir toisé les unes des magazines, j'ai reporté mon attention sur le rayon pochothèque. Et j'ai découvert dedans une petite édition collector d'un Desproges que je n'avais pas. Oh, certes, j'en connaissais bien le contenu, mais celui-là n'ornait pas encore mes étagères. J'en profite pour présenter immédiatement mes excuses plates et sycophantiques aux mânes de Pierre Desproges. En effet, le lieu de l'achat (oui, coupons court à tout suspense, je l'ai acheté, le Vivons Heureux en ...