Dans mon rêve de cette nuit, j'allais voir un film. Et selon cette porosité particulière des rêves, la frontière entre ma réalité onirique et celle du film que je regardais était ténue, et le passage entre les deux se faisait de façon fluide, encore plus que dans Last Action Hero . Mais au lieu d'avoir un Schwarzennator qui ignore qui a buté Mozart, mais promet de se pencher sur le dossier, on avait Nicolas Cage. Déjà, rêver de Nicolas Cage, c'est dur. Mais en plus, le Nico, il jouait le Joker, et là, ça meurtrissait mon petit cœur déjà pas mal racorni et qui n'a donc pas besoin de ça. Donc, Cage en Joker (et non pas l'inverse). C'était dur, oui. Surtout quand je me suis retrouvé embarqué dans le récit, à essayer d'empêcher une voiture piégée d'exploser. Moi qui suis un vrai tocard en mécanique, me confier ce genre d'opérations de déminage, ça relève de la malveillance pure : d'ailleurs, la bagnole a fini par péter. Et c'est là que c'...