Bon, ce ouikende, c'était Angoulème. Et donc, nanti de mon bâton de pèlerin et de quelques paires de chaussettes de rechange, je suis allé me joindre à cette grande foire aux claques dans le dos, aux dédicaces parfois impromptues, et aux rencontres qui ne le sont pas moins. Deux grands sacrifiés pendant ce séjour : mon foie et mon sommeil. Je sens monter en moi le pouvoir du greuh. C'est signe qu'il faut aller se coucher. GREUH.
Des lunettes pour voir l'invisible en relief !