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Articles

Affichage des articles du septembre, 2019

Le Niko près de chez vous

Bon, il est temps que je refasse un petit point dédicaces, conférences, etc… Ce dimanche, le 29, je dédicace de 15 à 18 h à la Brasserie le Métro, Place Maubert à Paris dans le cadre du Parcours BD. Avec Alex Varenne, Maxenge Granger, Ondine Lauriot et l'ami Marwan Kahil. (note, je suis indiqué comme dédicaçant aussi le samedi après-midi, mais j'ai été obligé de me désister, désolé) Vendredi 11 octobre à 19h, je participerai à une table ronde à Lyon (25 rue Chazière, dans le 4e arrondissement) dans le cadre des Masterclass de l'Imaginaire, sur le thème "Écriture du temps : anticipation, uchronie, fin du monde" avec Karine Gobled, et Jacques Martel. J'y interviens en temps que spécialiste en apocalypses, ce que j'envisage de mettre sur ma carte de visite parce que ça en jette. ( inscriptions ici) Le samedi 18 octobre, je devrais en toute logique participer au deuxième Imagibière, organisé par la Brasserie de l'Être, rue Duvergier, Paris 18. D

Guns and proses

Pour un petit salon local qui se tient bientôt (péniche Story Boat, Port St Nicolas de Conflans Ste Honorine, le 22, si vous voulez tout savoir), je me suis mis en tête de réimprimer un petit livret que j'ai réalisé il y a une dizaine d'années, contenant des histoires écrites il y a vingt ans et dessinées par mon vieux complice Jean-Marc Lainé. C'est toujours marrant de se replonger dans ces machins. C'était l'époque où on voulait un peu être Frank Miller à la place de Frank Miller. On essayait des trucs. Et mine de rien, y avait une petite ambiance, y avait des effets de narration plutôt chouettes. Bon, je regrette un peu l'effet "girl in fridge" dans La Chasse , le deuxième récit, mais il avait été conçu pour une anthologie au départ, et on m'avait demandé un truc à la Seven . Je n'avais d'ailleurs pas vu Seven , à l'époque, et du coup je me le suis auto-spoilé tout seul comme un grand en le pastichant sans connaît

Métro-dodo

Ah, encore un rêve où je passe un temps infernal dans les transports. Là, je devais me trimballer un vélo dans le métro. Ce qui n'a guère de sens, puisque si j'ai un vélo, c'est pour m'en servir, je ne vois pas trop de configurations où je descendrais dans le métro avec une bicyclette sous le bras. Bref. Et donc, je me transbahutait dans des stations tentaculaires, aux escalators planqués dans des recoins, aux ascenseurs exigus, aux escaliers et aux couloirs interminables, trainant toujours la petite reine. Enfin, je parviens à monter dans une rame, tout à l'avant. C'est une de ces rames automatiques, sans chauffeur, qui permettent de voir devant défiler les rails et les tunnels. Le métro démarre, s'enfonce dans le tunnel, puis émerge à l'air libre. Et là, surprise : pour étendre la ligne sans creuser de nouveau tunnel, les rails passent sur la Seine. Ils sont à demi immergés, soutenus Dieu sait comment, et le métro roule dessus. Je me souviens dis

1500 !

Ceci est le 1500e article sur ce blog. En une petite dizaine d'années (il a débuté en octobre 2009). Mais l'histoire de la Warzone remonte à beaucoup plus loin. En fait, elle commence en décembre 1992, ça fait donc un sacré bail. L'équipe du fanzine Direct Importation, consacré aux comics, vient de rebooter la revue, sous le titre Heroes . Ayant participé à la toute fin de DI , je me retrouve à écrire dans Heroes . Au moment où Marvel annonce, dans sa ligne 2099 , la nouvelle série signée Stan Lee, un événement. Les visuels de cette série, Ravage 2099 , me font bondir : ils pillent allègrement, mais de façon pataude, mon comic book préféré, Grimjack (voir au sujet de GJ l'interview de Tim Truman , ainsi que les papiers qu'y a consacré Artemus Dada, notamment ici et ici ), qui vient de s'arrêter l'année précédente. Je propose de me fendre d'un coup de gueule, et on me file donc une rubrique régulière consacrée à mes vitupérations. Son titre, vo

Uchronies Express

Je me retrouve à filer des idées à un cinéaste amateur qui bricole une uchronie dans son coin. C'est hyper amusant à faire et son truc va être super rigolo. Ce que j'en ai vu m'épate et m'éclate. Il y a fatalement des idées non retenues, mais dont il serait dommage, je crois, qu'elles restent sous le boisseau. En voilà une, par exemple :   "En Allemagne, un politicien écrit du fond de sa prison un ouvrage expliquant l'importance de la surveillance émotionnelle de masse : Mein Voight-Kampff . Ses théories sont mises en œuvre 70 ans plus tard par le jeune Mark Zuckerberg."