La semaine prochaine, et plus précisément le dimanche 13 mai, je serai au festival Le Rayon Vert de Thionville-Volkrange pour y dédicacer mon album Howard P. Lovecraft, celui qui écrivait dans les ténèbres. Je ne préviens que maintenant parce que, du fait des grèves de train, on n'était pas bien sûrs de la logistique. Des solutions ayant été trouvées, je pourrai sauf imprévu m'y rendre. Si vous êtes dans le coin, n'hésitez pas à passer me voir !
Parmi les râleries qui agitent parfois le petit (micro) milieu de l'imaginaire littéraire français, y a un truc dont je me suis pas mêlé, parce qu'une fois encore, je trouve le débat mal posé. Je suis capable d'être très casse-burette sur la manière de poser les débats. Mal poser un débat, c'est ravaler l'homme bien plus bas que la bête, au niveau d'un intervenant Céniouze. On n'en était certes pas là, et de loin, mais les esprits s'enflamment si vite, de nos jours. Du coup, c'est ici que je vais développer mon point de vue. Déjà parce que c'est plus cosy, y a plus la place, déjà, que sur des posts de réseaux sociaux, je peux prendre le temps de peser le moindre bout de virgule, et puis peut-être aussi (c'est même la raison principale, en vrai) je suis d'une parfaite lâcheté et le potentiel de bagarre est moindre. Bref. Le sujet de fâcherie qui ressurgit avec régularité c'est (je synthétise, paraphrase et amalgame à donf) : "Po
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